Entre terre et mer, bordant l’océan ou perdues en pleine nature, de somptueuses piscines naturelles émerveillent chaque année de nombreux visiteurs un peu partout sur la planète. Connues ou encore secrètes, voici neuf d’entre elles…
Le Lagon Bleu, en Islande
À une quarantaine de minutes de Reykjavik, la capitale islandaise, le Lagon Bleu attire chaque année des milliers de touristes. Il s’agit en réalité d’un lac d’une superficie de 200 mètres carrés, situé dans une zone volcanique. Ses eaux chaudes bleu turquoise proviennent de la centrale géothermique de Svartsengi. Grâce à un forage long de plus de 2 000 m de profondeur, cette centrale pompe un mélange d’eau douce et d’eau salée. Une fois utilisée et refroidie à une température entre 30 °C et 39 °C, l’eau est rejetée directement sur le champ de lave adjacent à la station. Et donc dans le Lagon Ble ! (Photo : Wikimédia)
Le Nanda Blue Hole, au Vanuatu
Au cœur du Pacifique, dans l’archipel du Vanuatu, le Nanda Blue Hole est un véritable havre de paix aux couleurs sublimes et à l’eau cristalline. Sa profondeur (jusqu’à 13 mètres de fond) en fait l’un des hole » (trous, en français) les plus spectaculaires du Vanuatu. Là-bas, plusieurs petits étangs creusés au cœur de la jungle rivalisent de beauté. Ces piscines naturelles sont formées sur une terre volcanique par des flux d’eau souterrains. Il paraît que l’eau est si transparente que l’on semble flotter en apesanteur… (Photo : Wikimédia)
Le lagon de Giola, en Grèce
Au sud de l’île grecque de Thassos, dans le nord-est de la Grèce, non loin de la Turquie, le lagon de Giola s’est creusé dans les rochers et au gré des années, par la seule puissance de la mer. L’endroit est relativement préservé des touristes mais assez difficile d’accès (entre les rochers, avec parfois un peu de houle). L’eau, elle, est plus chaude que dans la mer Égée (déjà assez chaude). Il n’y a pas beaucoup d’ombre, donc pensez simplement à mettre de la crème solaire. (Photo : DR)
Le Parque Nacional dos Lençóis Maranhenses, au Brésil
L’un des lieux les plus magiques du Brésil, incontestablement. Le Parque Nacional dos Lençóis Maranhenses vous offrira ainsi des kilomètres de dunes de sables, avec, à leur pied, de petits lacs où vivent des tortues et des oiseaux. Ces lagons, d’une eau douce et cristalline, mélange de bleu, vert et émeraude, ressemblent à des oasis perdues en plein désert. Entre Amazonie et Atlantique, ces paysages semblent hors du temps. Ils attirent désormais de plus en plus de kite-surfeurs ou autres amateurs de glisse désireux de s’amuser dans une région très venteuse. (Photo : DR)
La Hamilton Pool, aux États-Unis
À une trentaine de kilomètres d’Austin, la capitale du Texas, la Hamilton Pool connaît depuis les années 1960 un certain succès auprès des habitants locaux. Cette piscine naturelle a été créée, il y a plusieurs milliers d’années, grâce à l’érosion de la roche. Un jour, tout s’effondra… Et comme une rivière souterraine avait elle aussi creusé la roche à cet endroit, cela a donné naissance à un mini-lac sublime, désormais à l’air libre et protégé par une falaise en forme d’arc. Une chute d’eau de 15 mètres, surplombant l’endroit, apporte une touche féerique au bassin. En 1990, la Hamilton Pool a obtenu le statut de réserve naturelle. C’est aujourd’hui un lieu bien préservé, même si les touristes affluent l’après-midi. (Photo : DR)
La piscine naturelle de Lotofaga, aux Îles Samoa
Elle fait partie des piscines naturelles dont l’accès est payant, mais avouez que l’endroit en vaut la chandelle. La piscine se trouve dans le village de Lotofaga, sur l’île d’Upolu, la plus petite des deux îles Samoa. Surnommé la Sua Ocean Trenc », c’est un véritable trou d’une trentaine de mètres, où vous aurez tout le loisir de plonger et de vous relaxer dans une eau émeraude. Une échelle et une plateforme permettent un accès plus facile à l’eau. La végétation verdoyante ajoute de la magie à l’endroit. Comment a-t-il été cré ? Par les différents mouvements tectoniques des plaques dans la région. Il ne s’agit pas d’eau douce, mais d’eau de mer qui s’est engouffrée dans des anciens tunnels de lave. (Photo : DR)
La Grotte de la Poésie, en Italie
Dans la région des Pouilles, dans le sud de l’Italie (le talon de la botte), la piscine de la Poési », située sur la commune de Roca Vecchia, s’est formée grâce à l’effondrement de son toit, où il y avait une grotte. La légende raconte qu’une princesse aimait se baigner dans ces eaux, ce qui inspira par la suite de nombreux poètes… La grotte mesure environ30 mètres de long, et les possibilités de plonger, depuis une hauteur de près de 5 mètres, sont nombreuses. Un escalier permet toutefois aux moins sportifs d’accéder à la baignade plus en douceur. Attention aux touristes, très nombreux l’été. (Photo : andresumida / Flickr / CC BY 2.0)
Havasu Falls, aux États-Unis
Les Havasu Falls sont en réalité cinq magnifiques cascades, refermant des piscines naturelles et une eau turquoise singulière. Elles sont situées au cœur des falaises rouges du Grand Canyon, dans la réserve indienne Havasupai, en Arizona. Havasupai signifie littéralement le peuple des eaux bleu-ver ». Havasu Falls obtient sa splendide couleur bleue du magnésium présent dans l’eau. La ville la plus proche de la réserve est Peach Springs, à 100 kilomètres au sud-ouest. Impossible, bien sûr, d’y aller en voiture. Une randonnée de 16 kilomètres vous y mènera. Il y a toujours l’option balade à cheval. Ou en hélicoptère… (Photo : DR)
Les cascades de Purcaraccia, en France
En Corse, c’est l’une des piscines naturelles les plus connues. Enfin désormais à tel point qu’il est préférable d’y aller hors saison. Pour s’y rendre, il faut partir de Solenzara, sur la côte Est de l’île, en direction du col de Bavella. Bifurquez à pied juste après le col de Larone, à un virage en épingle à cheveux. C’est un lieu très apprécié des adeptes du canyonisme et des randonneurs, qui peuvent descendre de piscine en piscine sur un parcours faisant plusieurs centaines de mètres, et avec du dénivelé. Vous trouverez également des toboggans somptueux. (Photo : DR)
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Le drapeau aux quatre serpents En Martinique, vous verrez certainement le drapeau bleu avec une croix blanche délimitant un rectangle bleu surplombé d'un serpent . Il s'agit de l' ancien blason de l'île . Ce drapeau reste non officiel et a été utilisé dès 1766 par la marine marchande. A l'époque le drapeau bleu à croix blanche représentait la royauté. Le serpent en question est le trigonocéphale endémique de l'île qui aurait fait de nombreuses victimes parmi les Arawaks, Caraïbes et lors de la colonisation. Mais il était dit à l'époque qu'il avait été introduit pour terroriser les esclaves et les contraindre à effectuer leur tâches . Le 4 août 1766 , un décret des représentants de l'État Français en Martinique et à Sainte-Lucie prévoyait que tous les propriétaires de vaisseaux et goélettes de ces îles arborent ce drapeau : « Tous les propriétaires de vaisseaux, bâtiments, goélettes et bateaux de la Martinique et de Sainte-Lucie...
Paul Ricard (1979) : en 1975, Éric Tabarly, accompagné par une équipe d'architectes navals et une équipe de la société Dassault , conçoit un trimaran de type foiler (équipé de foils ). Pour ce projet, Éric Tabarly recherche un budget pendant quatre ans. En 1979, il rencontre Paul Ricard qui accepte de le financer. Ce trimaran de 16,50 mètres en aluminium déplaçant 7 tonnes est caractérisé par son bras de liaison unique et profilé qui s'appuie sur deux petits flotteurs, eux-mêmes équipés de foils ( plans porteurs profilés immergés ). Avec ce bateau, Éric Tabarly bat en 1980 le record de traversée de l'Atlantique Nord détenu depuis 1905 par la goélette Atlantic de Charlie Barr , ouvrant ainsi la course aux records de traversées effectuées par les multicoques . https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ric_Tabarly complément trouvé sur voileetmoteur.com Tabarly : la foil histoire du trimaran Paul Ricard Bernard Rubinstein Le 25/02/19 Partager :...
Alors que nous avons fait escale à Pigeon voici que nous avons découvert une belle randonnée. Jolie rando de littoral : la trace du Petit-Malendure. A l’ombre de la forêt sèche, découvrez cette trace de littoral de la Côte-sous-le-vent avec ses petites criques, ses bons raidillons et son panorama sur les îlets Pigeon. Au départ de la plage de Malendure, une belle trace ombragée en forêt xérophile sèche vous offre au fil de ses raidillons, de magnifiques panorama sur les îlets de Pigeon, en passant par la Pointe Négresse, la falaise Noire et la Pointe à Zombi pour arriver à l’anse Colas, de nombreuses petites criques invitent à la baignade. Une randonnée de 2 kilomètres qui s’effectue en 2 h 30, (niveau 2, assez facile), être bien chaussé, avec de bons raidillons (altitude maxi : 117 mètres). Suivre le balisage jaune. Circuit linéaire : prévoir une voiture pour le retour… ou doubler le temps de marche… Quelques centaines de mètres après avoir quitté...
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