« La force de la mer m’a souvent impressionnée, mais elle ne m’a jamais fait peur. Sa tendresse m’émeut encore tous les jours. J’ai l’impression qu’elle fait tout pour me rendre heureuse. » Écrit au seuil des années 1990, le manuscrit d’Océane ne sera jamais publié. ...Google Books
Genre : Biographie
Océane, par Florence Arhtaud et Patrick Le Roux, éditions Arthaud, 270 pages, 19,90 €.
Écrit avec Florence Arthaud, son livre est publié 32 ans après
Ami de Florence Arthaud, le journaliste trégorrois Patrick Le Roux avait écrit avec elle le récit de sa jeune vie de navigatrice. 32 ans après, le livre paraît enfin.
Voile. Écrit avec Florence Arthaud, son livre est publié 32 ans après
Ami de Florence Arthaud, le journaliste trégorrois Patrick Le Roux avait écrit avec elle le récit de sa jeune vie de navigatrice. 32 ans après, le livre paraît enfin.
Ce n’est pas tout à fait l’histoire d’une bouteille jetée à la mer mais presque. Le manuscrit d’Océane, autobiographie de Florence Arthaud, resurgit, 32 ans après sa rédaction.
1988 : la jeune navigatrice gagnera la Route du Rhum et battra le record de l’Atlantique deux ans après, elle a déjà trois Routes du Rhum à son actif et est pour le public « la petite fiancée de l’Atlantique ». Elle signe pour un livre chez l’éditeur Filipacchi.
Dix jours en Corse
Pas le temps pour elle de l’écrire en solitaire. Son coéquipier est tout trouvé : Patrick Le Roux est journaliste à Libération.
Ce n’est pas tout à fait l’histoire d’une bouteille jetée à la mer mais presque. Le manuscrit d’Océane, autobiographie de Florence Arthaud, resurgit, 32 ans après sa rédaction.
Océane, extraits
La mer. La mer est un monde à elle toute seule.
La mer est ma seule confidente. Seule la mer ne décevra jamais.
La solitude. La solitude m'est nécessaire. Je laisse peu de place à la dérive poétique.
Quand je croise au large d'Ouessant, j'ai l'impression d'arriver chez moi, je reconnais tout de suite cet océan Atlantique d'un bleu noir couleur d'hirondelle.
Le retour à terre c'est le voyage entre deux formes de solitude, la plus belle et la plus terrible.
Seule la mer me sauve vraiment. Le bateau devenu le seul moyen d'aménager ma vie, de combler un certain désespoir, une certaine solitude.
La mort. Je suis habituée à vivre avec la mort. Je sais qu'un jour elle viendra me prendre.
Je veux vivre à 100 à l'heure parce que je n'ai pas le droit de gâcher un instant. Je suis consciente que la mort peut être imminente.
La défaite. J'ai toujours eu horreur des arrivées de course. Toujours vexée qu'on considère comme des exploits ce qui pour moi reste des contre-performances.
La victoire. Arriver la première de l'autre côté de l'océan c'est ce qui pourrait m'arriver de plus beau dans la vie.
Une photo de gorille avec un effet de flou causé par une chute accidentelle, l’installation d’une « caméra-piège » pour capturer des images de loups en pleine nuit… Des photographes ont raconté au magazine Vice les histoires parfois étonnantes qui se cachent derrière certains de leurs clichés récompensés par des prix du Nature Photographer of the Year Awards 2021. L’article est accompagné d’autres belles images soumises à ce concours
Le prix Nobel de littérature «Le prix Nobel de littérature est devenu le prix Nobel de l'idéologie», estime Alain Finkielkraut Écouter cet article 00:00/03:41 Finkielkraut: «Le Nobel de littérature c'est aujourd'hui le prix de l'idéologie» 0 seconds of 28 seconds Au micro d'Europe 1 ce dimanche, le philosophe et académicien a, entre autres, réagi au discours d'Annie Ernaux, prix Nobel de littérature. Dès le début de l'entretien, le philosophe n'a pas mâché ses mots sur le prix décerné à Annie Ernaux . Selon lui, « le prix Nobel de littérature est devenu le prix Nobel de l'idéologie ». La veille, la lauréate du prix a prononcé son discours de remerciements à Stockholm. À l'écoute de cette allocution, Alain Finkielkraut a été interpellé par une phrase : « J'écrirai pour venger ma race ». Une phrase tirée par Ernaux de son propre journal intime, écrite à l'âge de 22 ans, et qui fait référence à son milieu d'origine modeste
Pommes de terre "Grosse Louloute" Peut-être certains d'entre vous qui ont navigué (au moins dans leur tête) ont-ils bien connu Gérard Borg, journaliste nautique et auteur de la série culte des "Nauticus"... Je lui dois une recette délicieusement facile et particulièrement bien adaptée au bateau il faut : des patates, du gruère, du jambon, des oignons. Le matos : une poële Téfal, un Opinel, un couvercle plus grand que la poële Nota : la qualité des produits dépendra dans une large mesure de ce qu'on a sous la main ou dans la soute, de l'état des finances à l'instant T, de l'humeur du moment et de l'âge du capitaine (comment ça, y'a pas de capitaine dans un fourgon ???? Ferait beau voir, tiens...) On peut remplacer le jambon par un reste de poulet, le reste de poulet par un reste de veau, le gruère par du reblochon ou du Cantal, la poële Téfal par une autre marque et l'Opinel par un Laguiole. Seule
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