AFRODITE NOTRE CATAMARAN DE VOYAGE

 

 
 

 



quelques détails techniques...

       









L'INTERIEUR DU GRAND CARRé




 




 
TROIS VASTES CABINES DOUBLES "KING SIZE"










 
 



















le bonheur c'est simple sur un catamaran...


tableau de bord
















 
les ailettes devant les parebrises évitent l'effet de serre
<--trempoline réduit








les nombreux cadrans de navigation




 


 les sanitaires sont de qualité : douche et wc séparés








le coin lecture sur fauteuil relax


un des trois grands lits king size




 


 le bureau







 






 la buanderie




 la pointe avant tribord


 le coin du bricoleur : l'atelier

















 
Dean catamarans - Essai Dean 441, le catamaran tourdumondiste

S'il existe un marché des multicoques habitables spécialement étudiés aux attentes des familles qui souhaitent faire le tour du monde avec un bateau confortable et solide, le Dean 441 répond parfaitement à cette demande.

 
Longueur    43,89 pieds
Largeur         7,25 m
Tirant d'eau (min.)   1,20 m
Déplacement    11 000,00 kg
Matériau(x)    Polyester
Architecte(s)    Peter Dean
Moteurs 2 Vetus TD-55 55,00 cv 700 heures
Type de carburant   Gasoil
Transmission  Ligne d'arbre
Hélice(s)  3 pales repliables
Réservoir carburant  700,00 L
Réservoir d'eau   600,00 L
    
  
Concurrents :- Catana 47, Catana
- Salina 48, Fountaine Pajot
- Nautitech 441 ou 442, Nautitech
- Nautitech 45, Nautitech
- Lagoon 440, Lagoon
- Lagoon 500, Lagoon
- Outremer 47, Outremer
- Outremer 50, Outremer 



Caractéristiques techniques :
Longueur hors tout: 13,3 m / 43´ 8"
longueur à la flottaison ; 13,1 m / 43´ 0"
largeur : 7,2 m / 23´ 7"
tirant d'eau : 1,1 m / 3´ 7"
Hauteur mât (au-dessus de la flottaison) : 20,7 m /67´ 11"


surface des voiles:

GV : 70 m² / 753 sq ft
Genoa : 55 m² / 591 sq ft


pont : 530 mm / 1´ 9" min and 960 mm / 3´ 2" max (at ste\rn)
moteurs : 2 x 42 HP / 30.9 KW
EAU : 2 x 335 l / 88.5 gal US
Diesel : 1 x 550 l / 145.3 gal US
CE Certified : Category A
Launch weight : 11.000 kg / 24690 lb 
 


On aime   on n'aime pas  
Espace à vivre     RIEN 
Finition ébénisterie  
Capacité d'emport      
Très belle cuisine avec équipement complet      
Programme tourdumondiste    
Poste de barre très abrité    
Souplesse du chantier aux demandes spécifiques des clients  








 
 

POURQUOI PASSER AU CATAMARAN ????

 
Nous avions baptisé Eolis III notre bateau précédent "monomaran"
alors  qu'ils était de plain-pied cockpit et carré
et avait deux moteurs!
 
alors pourquoi ne pas passer à deux coques ?

Test : Etes-vous fait pour le voyage en cata ?

Vous en rêvez ? Mais est-ce fait pour vous ? Pour votre famille ? La vie en bateau, même sur un catamaran, n'est pas toujours aussi simple et agréable qu'il n'y paraît. Alors, avant de tout lâcher pour vivre au rythme des flots, faites donc ce petit test et faites-le faire à vos proches. Et vous saurez si votre rêve peut, enfin, devenir réalité...



1- Le voyage, c'est un véritable art de vivre. Mais nous avons tous une manière bien personnelle de le qualifier. Alors, pour vous, le voyage, c'est quoi ?
a) Vous êtes un fan du magazine National Geographic. Vous êtes abonné et vous n'en avez jamais manqué un... Le meilleur moyen de voyager à l'aise.
b) L'année dernière, vous êtes allé visiter l'Ecosse et vous avez même fait une croisière de deux heures sur le Loch Ness. Mais vous n'y avez pas vu le célèbre monstre. Une prochaine fois, peut-être ?
c) Vous partez au moins une fois par an au bout du monde. Vous n'envisagez pas la vie sans aller à la découverte des autres, de leur culture et de leur vie...

2- Ah ! le bateau. Quel bonheur. Mais il y a aussi son corollaire : le mal de mer... Et pour vous, ça se passe comment ?
a) Vous êtes malade rien qu'à regarder le départ de la Route du Rhum à la télé... Vous gardez de chacun de vos embarquements un souvenir au goût de vomi. Mais il paraît que ça disparaît après quelques jours !
b) Comme tout le monde ou presque, vous souffrez du mal de mer. Mais ça ne dure jamais très longtemps, et après quelques jours, vous retrouvez tout votre dynamisme.
c) Le mal de quoi ? Lors de votre dernière nav par gros temps, vous avez été vaguement nauséeux. Mais après un bon casse-croûte et un coup de rouge, vous étiez à nouveau en pleine forme...

3- Lors d'un grand voyage en bateau, il y a tout autour de vous... de l'eau ! Et vous, la mer, vous l'aimez comment ?
a) La mer, c'est bien cette étendue bleue et salée ? Evidemment que vous connaissez, vous regardez toutes les émissions à la télé qui en parlent...
b) Vous en rêvez... Vous habitez à plus de 500 km de la mer et votre expérience des sports nautiques et limitée, mais vous allez adorer, vous en êtes certain.
c) Depuis tout petit, la mer fait partie de votre élément. Apnée, plongée, planche, dériveur, cata de sport ou encore pêche, rien ne manque à votre expérience. Et si un nouveau sport nautique apparaît, vous l'essayez immédiatement. Pas de doute, vous aimez profiter de la mer...

4- Qui dit vie à bord dit forcément bricolage... Et ça, ce n'est pas toujours évident pour tout le monde...
a) La dernière fois que vous avez vu un marteau, c'était sur un drapeau rouge lors d'une manif alors que vous aviez 18 ans...
b) Si on écoute votre femme, vous avez deux mains gauches. Mais c'est certain, la bricole n'est pas plus compliquée qu'autre chose, il suffit de s'y mettre.
c) La caisse à outil est votre meilleur ami, et pratiquement votre maîtresse. D'ailleurs, vous passez la plupart de vos week-ends à aller bricoler chez vos amis, car chez vous, tout est nickel depuis longtemps.

5- Le bateau, pour vous, c'est avant tout :
a) Un truc qui flotte, mais qui peut aussi couler, et qui bouge dangereusement...
b) Des heures avec une barre franche dans les mains, balloté de bâbord à tribord au portant, et avec la sensation d'avoir une jambe plus courte que l'autre au près...
c) Des souvenirs en pagaille, de l'apéro au coucher du soleil avec les amis, jusqu'aux quarts de nuit au chaud dans le carré en passant par les surfs à plus de 15 nœuds...

6- Qui dit voyage en bateau dit aussi, et même surtout, rencontres... Elles sont souvent magnifiques et marquent à jamais vos souvenirs. Mais comment vous comportez-vous avec vos coreligionnaires ?
a) Les rencontres, ça vous connaît... Dans votre ville natale, vous n'hésitez jamais à saluer tous ceux qui ont été dans la même classe que vous à l'école. Et vous étiez 30 par classe !
b) Vous adorez vos amis et vous aimez inviter de nouvelles têtes aux fêtes que vous organisez régulièrement. On ne s'enrichit qu'au contact des autres.
c) Vous avez même des amis dont la langue vous est inconnue. Partout où vous êtes passé, vous avez fait des rencontres. Et le plus fort, c'est que vous arrivez à garder le contact.

7- Votre future vie à bord de votre cata, vous l'imaginez :
a) Au port. Vous adorez l'ambiance des marinas et les nombreux contacts que l'on s'y fait. Vous en salivez d'avance !
b) Vous avez toujours rêvé de voir, enfin en vrai, les Caraïbes. Vous imaginez : le mouillage des Tobago Cays, ou les îles Vierges...
c) Après l'Afrique et le Cap Vert, la transat sera un grand moment. Après les Antilles, Panama, puis la Polynésie en passant forcément par les Galapagos. Pour le retour, on verra bien...

8- On ne part que rarement seul pour vivre à bord d'un bateau. Comment vos enfants envisagent-ils cette nouvelle vie ?
a) Sans école... Ils sont donc ravis !
b) Ils angoissent un peu à l'idée de quitter leur maison et leurs copains. Mais ils sont surexcités à l'idée de ce qui vous attend.
c) Ils connaissent déjà par cœur la vie en bateau, pour avoir passé tous leurs étés sur le Corneel 26 familial en Bretagne sud. Alors, l'idée de partir sur un cata "vraiment habitable" les motive à fond.

9- Vivre un an ou 10 ans sur un cata, c'est une belle aventure, mais ça se prépare sérieusement... Pour votre grand départ, comment vous préparez-vous ?
a) Vous êtes abonné à Multicoques Mag et vous attendez avec impatience le prochain hors-série "Grande Croisière" qui sortira en juin...
b) Vous avez loué plusieurs fois un cata aux Antilles et comptez bien suivre des stages de formation et ceux de sécurité. Bref, ça se prépare doucement, mais sûrement.
c) La vie à bord, vous connaissez depuis que vous êtes petit. Vous naviguez minimum 5 semaines par an et le plus de week-ends possible. Il ne vous reste qu'à établir le planning des escales pour être fin prêt.

10- Alors, c'est sûr et certain, vous partez ? Mais pour votre tour du monde, vous voulez passer par :
a) Les États-Unis. C'est sympa, les USA, et vous adoreriez traverser ce pays magnifique.
b) Europe, Canaries, transat, Antilles, Panama, Polynésie... Pour le retour, soit par Suez, soit par l'Afrique du Sud, selon l'ambiance au moment de faire un choix.
c) Le tour du monde n'est pas forcément une obligation. Mais vous aimeriez vraiment passer par Magellan... 
 
 

Résultats

Allez, un peu de courage... D'ici quelques minutes, vous saurez enfin si vous êtes fait pour le grand voyage en bateau... Prêt ?
Comptez un point par réponse (a), deux points par réponse (b) et trois points par réponse (c).

Vous avez obtenu plus de 25 points ?
Vous avez de l'eau de mer qui coule dans vos veines. Etre éloigné de la grande bleue et de votre bateau pendant plus de quelques jours vous rend malheureux... Pas de doute, vous êtes fait pour partir, pour naviguer et profiter de la vie des marins au long cours. Si vous vivez en couple et/ou si vous envisagez de partir avec votre famille, il ne reste plus qu'à espérer qu'ils obtiendront, eux aussi, un aussi bon résultat. Ensuite, à vous la grande aventure !

Vous avez entre 15 et 24 points ?
Vous aimez la mer et les bateaux... C'est certain ! Et vous faites aussi partie de cette population qui a la chance d'être ouverte sur le monde et d'aimer les rencontres que seuls les voyages peuvent procurer. Bravo. Mais avant de vous lancer dans "la grande aventure", il vaut mieux tester vos capacités d'adaptation à la vie en mer par quelques croisières d'une ou deux semaines. Qu'aviez-vous prévu pour cet hiver ? Une croisière aux Grenadine, ça vous dit ?

Vous avez moins de 14 points ?
Etes-vous bien sûr de vouloir partir naviguer ? Il semble plus raisonnable de renouveler votre abonnement à Multicoques Mag et de continuer à lire les aventures des autres. C'est un bon moyen de voyager qui correspond sûrement plus à vos aspirations... Une semaine de location une fois de temps en temps pourra peut-être finir par vous encourager à franchir le pas. Mais sûrement pas tout de suite !
 








un catamaran 
ça donne envie de partir en voyage



  

 

ci-après la fiche technique et quelques photos, dont celle ci-dessous en panoramique du carré :




 



 A gauche                                         ci-dessous la tables du carré                       à droite le coin cuisine spacieux


La table à cartes                              et ses banquettes en cuir beige                four-grill +micro-ondes,2 éviers

 


le bateau nous a favorablement surpris au près et dans les petits airs. Il reste sympathique à faire marcher

La construction sérieuse, le choix d’excellentes voiles QuantuAfrique du Sud et le volume aménagé concurrencent les produits français et américains et destinent ce catamaran de croisière paisible et typé

aux voyageurs

   

 

Les aménagements sont bluffants : espaces de rangement, aspects pratiques, qualité des finitions sont au rendez-vous.

Le carré est confortable et l’atmosphère chaude et presque ostentatoire séduit…

La visite des cabines le confirme : on se croirait sur un cata beaucoup plus grand.

Les avantages des catamarans sur les monocoques?

Les plus importants avantages d'un catamaran pendant une monocoque sont la stabilité, la performance, l'immersion bas, l'espace, plus d'intimité, et son insubmersibilité.

avantages des catamarans.
  1. pas de gîte -Ils ont 5° de gîte au maximum, tandis que les voiliers ont généralement 25° de gîte. Certes, 25° de gîte peut être excitant et amusant. Pendant un certain temps. Après cela, vous commencez à vous sentir un peu nauséeux. Les catamarans ont rarement plus de 5° de gîte, ce qui signifie les traversées sont moins fatigants, les boissons et la nourriture restent sur la table, il n'y a pas de délicats exercices d'équilibre sur le pont, ce qui est moins fatigant, et il y a moins de risques d'avoir le mal de mer.
  2. un autre avantage d'un catamaran est sa performance - la vitesse des catamarans modernes face au vent est jusqu'à 25% plus grande que la vitesse d'un monocoque de longueur similaire, tandis que sous le vent les catamarans peuvent aller de 75% à 100% plus vite que les monocoques.
  3. faible tirant d'eau - les catamarans ont un faible tirant d'eau, vous pouvez naviguer dans les zones où les monocoques ne peuvent pas entrer. Le faible tirant d'eau offre également plus de possibilités d'ancrage - ancrages peu profonds, loin des foules.
  4. un avantage important des catamarans est leur espace - un large pont spacieux, le poste de pilotage qui est deux fois plus grand que celui d'un monocoque, et un plus grand salon qui est sur ​​le même niveau que le poste de pilotage, offrant ainsi une visibilité à 360 degrés.
  5. plus d'espace permet plus d'intimité - les catamarans ont des coques séparées avec des cabines séparées. Les cabines sont généralement situées dans les coins du bateau comme le sont les toilettes, et sont séparées des zones de repos et de la cuisine. Cela signifie essentiellement que tout le monde peut trouver son coin sur le bateau et être sûr que personne ne les dérange pas.
  6. sans doute l'avantage le plus important d'un catamaran est son insubmersibilité - les catamarans sont plus sûrs que les monocoques. Les catamarans de location modernes n'ont pas besoin de ballast et grâce à sa construction en sandwich, la plupart est effectivement insubmersible. Si, par exemple, le perçage de la coque se produit, la performance d'un catamaran n'est pas affectée, tant le bateau est flottant, même dans ces conditions. Même avec les dommages considérables le catamaran flotte encore. Sa flottabilité signifie également que le catamaran ne peut pas être surpeuplé - si vous avez envie de prendre avec vous votre famille et la famille de votre ami, n'hésitez pas à le faire. Non seulement le bateau ne sera pas surchargé, tout le monde aura aussi leur intimité.



Articles connexes: Qu'est-ce qu'un catamaran?











Le pirate et aventurier anglais William Dampier, alors qu'il parcourait le monde dans les années 1690, fut le premier à décrire un catamaran alors qu'il naviguait dans le golfe du Bengale, dans la région du Tamil Nadu. Il les décrit, en 1697, de la façon suivante : « Sur la côte de Coromandel, on les appelle catamarans. Il s'agit d'un ou deux rondins, parfois d'un bois léger […] si petit, qu'il ne transporte qu'un homme dont les jambes et le fondement sont toujours dans l'eau. »

Le mot catamaran provient de kattuamaran issu de la langue tamoule, (katta: lien et maram: bois). Ce type d'embarcation est commun dans de nombreuses parties du monde, en particulier dans le Pacifique. Les Polynésiens utilisent une forme particulière d'embarcation à deux coques que l'on appelle « prao » qui possède en plus la particularité de pouvoir avancer dans les deux sens grâce à une rotation de 180° de la voilure.

La forme commune est vraisemblablement une invention des populations polynésiennes qui utilisaient principalement des pirogue à flotteur (à balancier). L'intérêt de relier deux coques identiques est sans doute apparu avec le besoin d'augmenter la capacité de charge pour des navigations lointaines.

Dans les années 1870, l'américain Nathanael Herreshoff est probablement le premier occidental à concevoir et fabriquer des catamarans que leur vitesse et leur stabilité rendent bientôt très populaires.


Avantages
  • Le confort lié à la navigation « à plat » : aussi bien pour se déplacer à bord pour manœuvrer ou tout simplement cuisiner.
  • L'espace lié au nombre et au volume des cabines, du carré, à la grande surface du pont, du cockpit et de la plage avant.
  • La capacité à ventiler l'ensemble de l'habitacle grâce à de grandes ouvertures sur l'extérieur.
  • La sécurité qui découle des 3 points précédents limitant la fatigue de l'équipage.
  • L'insubmersibilité que l'on obtient grâce à l'absence de lest.
  • La vitesse, pour le plaisir, pour se dégager d'un plan d'eau trop agité ou pour se prémunir d'une mauvaise météo annoncée. La vitesse est en effet généralement plus élevée que celle d'un monocoque. Cela vient de la finesse des carènes et du poids moins important (grâce à l'absence de lest).
  • Le faible tirant d'eau qui facilite la navigation en eaux peu profondes, l'accès aux plages et aux mouillages forains.
  • L'annexe gonflable ou rigide disposée entre les coque à l'arrière peut rester à poste tout en restant immédiatement disponible.
  • Absence de tangon au portant sous spi symétrique.



 
 
 
AFRODITE NOTRE CATAMARAN DE VOYAGE
 
Après une transatlantique est-ouest en 2002 suivie d’un retour via les Antilles, les Bermudes et les Açores Jean et Barbara sont repartis en 2005 profitant de la retraite cette fois … Le bateau : un catamaran de 44 pieds pour le plaisir ,la vue à 360° sur la mer et des mouillages grand confort. Il vient de Sud-Afriquie !



JEAN ET BARBARA, DES BRETONS AUX ANTILLES

JEAN ET BARBARA, DES BRETONS AUX ANTILLES
JEAN ET BARBARA, DES BRETONS AUX ANTILLES...
 
 

DU MONO AU CATA






http://eolis3.blogspot.com


 
nous avons failli l'appeler
MENRUZ
mais finalement nous lui avons laissé  son nom d'origine :
AFRODITE  
 
 













































Ils sont passés du mono au cata !


Mais pourquoi voit-on de plus en plus de navigateurs passer du mono au cata, et quasiment aucun faire le chemin inverse ? Qu'est-ce qui les motive ? Quels sont les arguments en faveur du cata ?
Pour répondre à ces questions, nous avons réuni plusieurs navigateurs, certains venant de la régate en monocoque, d'autres de la croisière côtière ou encore du grand voyage. En bateau de grande série, sur des monocoques de voyage ou même sur des unités qu'ils ont construits eux-mêmes, ils en sont tous arrivés à la conclusion, que le bonheur sur l'eau est forcément sur plusieurs coques…

 


 

 

 

 

 


 
 
TEMOIGNAGES

Le + du catamaran : "J'aime la navigation à plat, surtout par gros temps, c'est vraiment sécurisant"

 


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Jean
Bateau actuel : Dean 441
Monocoques précédents   : un Tina puis un prototype ALUBAT "monomaran" Eolis III
Programme : Atlantique Nord
Le + du catamaran : "Nous naviguons à deux le plus souvent, donc un bateau facile à manœuvrer est un vrai plus"
Jean a commencé à naviguer très jeune…en Bretagne.  La suite, c'est logiquement du dériveur, puis un petit cotre, Le Saint-Nicolas avant, à 30 ans, de s'acheter son premier voilier : un TINA, coursier des mers nommé KRISHNA et peint en jaune safran!  Aujourd'hui, le cotre alu
Alubat est à vendre (très belle affaire pour un couple cherchant un mono !!!), car il a acheté un Dean 441 ! 

"Mes navigations m'ont permis de naviguer en Bretagne et sur les côtes d'Angleterre et d'Irlande. Puis je suis descendu sur les côtes cantabriques et connu toutes la Méditerranée avec mon épouse Barbara à l'époque où toutes ces côtes étaient encore " civilisées" comme la Tunisie,  la Lybie, la Grèce, la Turquie, la Croatie (jusqu'à Venise).... 


Naviguant le plus souvent à deux, et conscient qu'à 70 ans, on n'est plus aussi souple qu'à 20 ans, Jean et Barbara ont choisi le cata pour son confort, bien sûr, mais aussi pour sa facilité de manœuvre. Et puis compte tenu de leur programme de navigation,  c'est une vie dans les mouillages qui les attend, et Barbara n'aime pas, mais alors pas du tout le roulis d'un monocoque…
"Après avoir fait un tour de ce qui existe sur le marché, nous avons à opté pour le Dean qui nous donnait une possibilité d'aménagement à notre convenance à un prix raisonnable pour un bateau confortable et marin."



Guy
Bateau actuel : Catamaran Polo Frère - "Bahia"
Monocoques : croiseur côtier DL en bois de 7,20 m - Samouraï - Aïkido - Trismus - Endurance 35.
Programme : Essentiellement vie à bord, croisière côtière et semi-hauturière, soit en solitaire, soit en couple.
Le + du catamaran : " Les aménagements de notre bateau avaient été pensés pour un couple. Le plan de pont était super pour les manœuvres et le farniente, la timonerie intelligemment conçue, et l'on aurait presque mis une table de ping-pong dans le cockpit !"


L'histoire nautique d'Evelyne et de Jean commence au début des années 80, lorsqu'ils achètent les plans d'un Atch 1050 à Dominique Provin et quelques tonnes de tôle pour le construire. En 1991, soit après dix ans de dur labeur, le monocoque tant désiré est enfin mis à l'eau. Après leur Sangria, le Atch paraît tout de suite bien plus confortable et logeable… Au menu de la famille, il y aura d'innombrables navigations, et des souvenirs en pagaille de mouillages somptueux au départ de la Manche. Angleterre, îles anglo-normandes, vers le sud ou en direction du nord, la famille ne connaît que peu de limites passant plus de 60 jours par an à bord et en navigant en moyenne plus 1000 milles chaque année.
En 2006, Evelyne et Jean partent en croisière aux Antilles avec trois autres couples sur un catamaran. Pour éviter de savoir qui va prendre en charge le bateau, ils décident de prendre un skipper, ce qui permettra en plus de bien découvrir la zone qu'ils ne connaissent pas. A neuf, à bord du Lagoon 380, Evelyne et Jean découvrent une autre manière de vivre en bateau. Espace, confort, intimité : on se déplace à 9 dans le catamaran avec une facilité inconnue à bord du monocoque. Et puis Evelyne, qui est sensible au mal de mer découvre le bonheur de naviguer à plat… Bref, ils sont enthousiasmés et cette expérience va être déterminante pour la suite ! Au retour des Antilles, la famille navigue à nouveau avec le Atch. Fin 2006, Jean connaît quelques difficultés dans son travail et peut envisager de passer du temps à aménager un bateau. Oui, mais quel bateau ? Rapidement, et devant le programme qu'ils envisagent, le choix du catamaran devient une évidence. Evelyne et Jean veulent en effet recevoir à bord leurs enfants, mais aussi leurs jeunes petits-enfants, âgés d'un an et de quatre ans et demi. Le tout pour un tour de Méditerranée puis un tour Atlantique. Ils hésitent longtemps entre un Lagoon 380 et un 410. Finalement, ils craquent pour une belle occasion, un 410 sortant de la flotte de location du loueur Apaca. Récupéré à la fin de la saison, et après une rapide préparation, le couple part de Hyères le 15 octobre dernier pour rejoindre son port d'attache en Bretagne le 10 novembre. Une belle croisière via Gibraltar, qui les conforte dans le choix de leur nouvelle maison. Du près, plus de 45 nœuds de vent, des conditions "hivernales" et pourtant Evelyne et Jean se sont toujours sentis en parfaite sécurité. Car si l'avantage du catamaran réside dans l'espace qu'il offre à ses occupants, le confort et la sécurité de naviguer à plat sont aussi un sacré argument au niveau de la sécurité. En cata le bateau reste à plat, et est donc beaucoup plus confortable en cas de mer formée. On peut veiller au chaud, dans le carré tout en ayant une bonne vision sur l'extérieur, donc on fatigue moins, et la fatigue est définitivement l'élément qui peut amener à l'accident…
Aujourd'hui, Jean s'apprête à préparer sérieusement son bateau pour partir, en attendant qu'Evelyne soit à son tour à la retraite et qu'ils puissent profiter de belles navigations ensoleillées
Guy a commencé sa "carrière" nautique au milieu des années 70, avec un petit croiseur côtier, dériveur lesté de 7,20 m en bois… Depuis, il n'a cessé de naviguer, en régates, en entraînement, en organisant des charters ou des écoles de voiles sur ses voiliers (Trismus puis Endurance 35), et à bord d'autres bateaux en temps que skipper ou convoyeur. Bref, on peut dire qu'il a un bon nombre de milles sous la quille…
Au moment de se racheter un bateau, Guy a longtemps cherché à retrouver un Endurance 35, semblable à son "regretté" précédant navire. Mais tous ceux qu'il a alors visités étaient soit trop cher, soit n'avaient pas le même plan de pont… Jusqu'au jour où il a compris qu'il courait après un fantôme, et qu'avec son bateau, s'était envolé une part de sa vie qu'il était vain de vouloir recréer… "C'est à ce moment là que je me suis mis à penser à un catamaran. Non par idée de mode, mais pour tourner la page, et passer à quelque chose de vraiment nouveau. De plus ayant goûté au salon de pont, je ne voulais plus que l'on vive "à la cave"..." Son choix s'est alors porté sur un catamaran construit par le chantier Polo Frère de La Ciotat sur plans Pappon. un catamaran atypique, confortable, qu'il achète en 1998, et sur lequel il commence à vivre à l'année pendant quatre ans en écumant les mouillages sauvages (il en reste !) de Méditerranée. Car ce qu'à bien compris Guy, c'est qu'on ne navigue pas de la même manière avec un monocoque et un catamaran. Le très faible tirant d'eau du cata, la possibilité d'échouage à plat, son confort aussi bien à la mer qu'au mouillage, sont un plus indéniable. "Après plusieurs années de vie à bord permanente, et sans jusqu'à aller dire "le mono, plus jamais", je sais qu'en parcourant mon livre de bord, il est une phrase que j'ai notée plusieurs fois : "Merci Bahia...", pour son tirant d'eau très faible (dérives) qui nous a permis d'aller dans des coins reculés sans soucis, pour sa stabilité au mouillage (quand on voit les autres rouler bord sur bord), et pour me permettre de bouquiner ou siroter ma bière dans le cockpit, en route au près, bien à plat.
Pour être honnête, il faut aussi parler de l'entretien (peinture annuelle pour la maintenance, carénage, frais sur les 2 moteurs), et surtout du prix des places de port (à éviter au maximum) qui augmentent nettement le budget par rapport à un mono de même taille (37'), mais il faudrait plutôt comparer à volume égal." Et bien sûr, dans ce cas, il n'y a pas photo !


Gordon
Bateau actuel : Outremer 45 "Obedient"
Monocoques : Westerly Cruisers 22 et 26, Sigma 362, puis cat de course de 30', Dazcat 30', Corsair F31R.
Programme : Découverte du plus bel endroit où naviguer au monde : la côte ouest de l'Ecosse.
Le + du catamaran : On y vit confortablement 2 semaines (ou pour toujours ?), et il nous emmène dans la plus belle zone de navigation au monde, la côte ouest de l'Ecosse !"
Le cas de Gordon est différent : après avoir beaucoup usé ses cirés sur la côte écossaise en régate en monocoque, il est passé au multicoque pour aller toujours plus vite et plus loin… Aux Westerly Cruisiers de son père ont donc succédé un Sigma 362 puis un catamaran de course de 30', un 30' Dazcat, un trimaran F31R et enfin un Outremer 45… Un vrai fana du multicoque. Il faut dire que son programme de course est sérieux (Scottish Islands Peaks Races - UK Three Peaks Race…), et que ses catas de courses ou son trimarans y ont fait des merveilles. Aujourd'hui, Gordon trouve que son catamaran offre le parfait compromis entre bonnes navigations, traversées rapides et confort… Et si les sensations de barres sont moindre au près, les performances sont toutes aussi bonnes, et quel plaisir au portant. Et à la question de savoir quel sera son prochain bateau, il répond immédiatement : "j'ai le bateau parfait, j'espère ne jamais en changer !"




 
 
 

Livre de bord STW
Avril 2014

Sail The World
Chers adhérents : Voici le premier numéro du « livre de bord STW », qui va vous informer régulièrement de la vie de l'association, des Projets en cours et à venir, et bientôt des navigations de certains d'entre vous, bref de tout ce qui fait l'originalité et la force de SAIL THE WORLD.
Les projets temporaires et les projets permanents : Comme vous avez pu le lire dans les nouveaux statuts, les commissions ont évoluées vers des Projets Permanents, auxquels s'ajoutent des Projets Temporaires dont le but est de réunir, pour un temps, un certain nombre d'entre vous afin de faire aboutir une idée, un projet pour lequel vous avez un intérêt ou des compétences que vous voulez mettre au service de tous.
Le Projet Temporaire sur la taxe Grecque
Le mois dernier Daniel Conversat (Danielloui) débutait le Projet Temporaire à la suite du travail mené par Ariel Dahan. Il y était rejoint par Claude Peroy (Vent'oses), Eric Petitjean (Seamarie), Michel Perruchot (Yörük) et Pierre Aubineau (Peio64). Ariel Dahan y participe également sur le volet juridique.
Le 8 avril, le mémoire rédigé par le groupe de projet a été envoyé au Premier Ministre et au Ministre des Finances de la République Hellénique, directement au Gouvernement à Athènes, avec mise en copie à l'Ambassade de Grèce en France, à l'Ambassade de France à l'ONU et au Ministère français des Affaires Etrangères en vue de les informer du dialogue. Il est à noter que cette initiative a retenu toute l'attention bienveillante de la FFVoile et du Conseil Supérieur de la navigation de Plaisance et des Sports Nautiques
Vous pouvez retrouver les avancées de ce PT (Projet Temporaire) ici et retrouvez les documents en cliquant sur ces liens :
Le Projet Temporaire sur les balises de détresses : Initié par François Michel (Pacolarahm), Frédéric D'Allest (Artimon) et Pierre Merlenghi, à la suite du drame du « Grain de Soleil », ce groupe s'est interrogé sur les aspects techniques et l'intérêt des différentes balises. Un rapport sur ce thème a déjà été mise en ligne sur le forum, Pour le consulter, cliquez ici.
Deux Projets Temporaires en cours de montage :
  • La foudre et ses conséquences : Qui n'a pas été inquiet en mer en voyant la foudre tomber autour du bateau ? Le foudroiement est en général dévastateur pour l'électronique, voire pire et les moyens de protection préconisés sont plutôt désuets. L'idée est de faire le point sur l'ensemble des solutions de protection et surtout de recueillir des témoignages sur l'efficacité de chacune d'entre-elles, pour à terme, proposer peut-être des solutions du tonnerre pour le bateau et leurs passagers.
    Ce Projet Temporaire est en phase de création, les spécialistes français du domaine sont très intéressés par vos retours sur ce sujet http://www.labofoudre.com/
    Un appel à candidature est fait auprès de vous tous pour participer à ce projet qui nous éclair-era tous sur ce foudroyant dossier.

  • Le vieillissement de l'Inox en milieu marin : Le projet est à l'initiative de Philippe Boyer, et Bernard Baroux (Ygern), ancien professeur à l'INP Grenoble.
    L'objectif est de constituer un dossier sur les différents types de corrosions, bien souvent cachées et peuvent être la cause d'un démâtage suite à l'affaiblissement et à la rupture d'éléments du gréement ou de pièces maîtresses.
    A travers ces questions et les réponses apportées vous pourrez mieux déceler ces corrosions sournoises et anticiper ainsi des avaries graves.
    Des conseils pratiques vous seront donnés à partir d'exemples réels.
    Le leitmotiv à ne jamais oublier en mer : Mieux vaut prévenir que guérir !
    Le Projet Permanent « Sciences et Océans »
    Collaboration avec le projet Argonimaux du CNES :
    Carole Beaumont (Caroleb) en charge de ce Projet Permanent vous propose un partenariat avec le projet Argonimaux du Centre National d'études Spatiales pour permettre à votre enfant de participer à leurs missions pédagogiques d'observation d'animaux marins afin de mieux comprendre le mode de vie et les déplacements de ces animaux et l'influence des variations climatiques et de la pollution sur leurs trajets.
    Le CNES organise une rencontre avec les écoles qui participent au projet Argonimaux du 21 au 23 mai 2014 à La Rochelle. Un appel à jumelage sera lancé à cette occasion.
    Un appel vous est lancé, vous qui naviguez avec des enfants, pour que vous les incitiez à participer à cet excellent projet.
    Lien vers présentation globale : Argonimaux, un projet pédagogique
    Pour plus d'informations et pour s'inscrire, RDV ici :
    http://sciencesetoceans-stw.blogs.stw.fr
    Le Projet Permanent « Veille sanitaire dans les pays du monde »
    En collaboration avec AVS (Association Voyage et Santé), vous allez avoir très prochainement accès à un service vous informant des épidémies et autres affections en évolution dans les pays que vous pourrez aborder.
    Ce type d'information est très utile pour suivre par exemple le développement ou l'extinction des épidémies de dengue ou de Chikungunya aux Antilles afin de prendre les meilleures précautions.
    Ce service à disposition des adhérents STW, celui-ci sera réactualisé en permanence et concernera tous les pays du monde fréquentés par vos navires.
    Le Projet Permanent « assurances »
    Dans le cadre de notre activité associative, nous avons souhaité qu'un bénévole puisse s'impliquer afin de développer de nouvelles synergies.
    Christophe Allan, qui connait très bien le milieu de l'assurance a décidé de venir en soutien dans cet important dossier. Ancien skipper professionnel et passionné par la navigation depuis son plus jeune âge, il dirige actuellement la société spécialisée dans la géo localisation.
    « Sail The World est très utile pour tous les marins que nous sommes. Je suis heureux, aujourd'hui, de pouvoir apporter ma contribution en cherchant des solutions d'assurances répondant aux projets de tous les amoureux de la mer.»
    Le service de « Routage Météo »
    Lors de notre dernier sondage, vous étiez 83% à montrer votre intérêt par un tel service au sein de l'association. Nous avons entendu votre demande et c'est pourquoi nous allons développer un tel module en collaboration avec le centre de formation. Cet outil qui permettra à chaque plaisancier d'avoir accès aux services d'un routeur professionnel sera un élément de sécurité non négligeable à la disposition de tous.
    Pour tout renseignement, contactez Laurent Marion, responsable du centre de formation.
    Le Projet Permanent « Marinas et Mouillage »
    Francis Giniaux (Istos) initiateur du projet est sur les startings-blocks pour participer à la cure de jeunesse de cette rubrique dans le cadre de la V2 du site.
    Autres informations
    Le développement du site web v2 :
    C'est l'objectif qui nous mobilise !
    Le site développé par Alain Richard va bientôt être remplacé après 15 années de bons et loyaux services. Le système d'exploitation est arrivé en bout de course, il est vital de le remplacer par un système moderne, beaucoup plus souple, beaucoup plus interactif et moins coûteux en développement et en maintenance.
    L'interface sera plus moderne avec des visuels qui ne donneront qu'une envie : naviguer !
    Ce printemps va débuter le grand ménage sur le site stw.fr, le webmaster et l'équipe en place vont se charger d'organiser au mieux cette nouvelle plateforme.
    Les Pavillons :
    Nous avons reçu un magnifique stock de pavillons STW qui ne demandent qu'à battre joyeusement sous vos barres de flèches ! Ils sont beaux et nous n'avons pas hésité à choisir pour vous la meilleure qualité.
    Un petit mail à votre charmante secrétaire Anaïs bureau@stw.fr qui se fera un plaisir de vous l'adresser à réception de votre chèque. Vous serez reconnus et appréciés dans les marinas et les mouillages, un bon moyen de se faire rapidement des amis !
    La Vie de l'association :
    Cette année, les finances de l'association sont focalisées sur le développement de cette nouvelle version du site. Daniel Beaumont, votre trésorier est à la manoeuvre.
    Tout ne se fera pas en un jour, les capacités financières de l'association ne le permettent pas, à moins qu'un généreux mécène entende notre appel !
    Le passage de la cotisation à 40 euros, acceptée par tous, est un apport très positif, même s'il faut encore limiter les dépenses, en particulier au niveau des blogs.
    STW soutient Eric Sommer :
    Nous profitons de cette newsletter pour adresser notre soutien à Eric Sommer incarcéré à Ste Lucie depuis plus de deux ans dans des conditions plus que difficiles. Nous soutenons les efforts de sa famille afin qu'il ait un procès équitable très prochainement.
    Nous espérons que ce premier Livre de Bord vous a intéressé. N'hésitez pas à nous apporter toutes vos critiques constructives pour faire évoluer ce document dans le bon sens.
    Nous ne vous avons pas tout dit. Beaucoup de projets nous sont proposés. Nous vous en parlerons dans un prochain numéro.
    Sachez que nous sommes actifs, à la manoeuvre. Le temps est beau, on a envoyé le spinnaker ! L'équipage est motivé avec pour seule envie que nous naviguions tous ensemble à bord de ce beau bateau qui s'appelle STW !
    A bientôt.

    Baptiste Berthelot et l'équipe des rédacteurs



  • Association Sail The World
    21 rue Crucy
    44000 Nantes
    http://www.stw.fr
    +33 (0)2 40 59 38 57
    bureau@stw.fr
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    Pour que vos rêves de navigation deviennent réalité, ce livre répond aux mille questions de la préparation d'un tour du monde en bateau ou d'une année sabbatique à la voile. Avec beaucoup de sens pratique, d'humilité et d'humour, "Histoires de Partir" aborde chaque aspect de la vie en mer. Un livre précieux pour votre propre "histoire de partir"…
     
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    Suis-je fait pour vivre en mer ? Quel budget pour un tour du monde à la voile ? Comment aider ma femme à vaincre sa peur des coups de vent ?  Quelles compétences en navigation avant de lever l’ancre ? Tour du monde à la voile ou tour de l'Atlantique ? Comment assurer la sécurité des enfants à bord d'un voilier ? Et la scolarité sur un bateau ? Comment acheter un bateau de grand voyage puis le préparer ? Monocoque d'occasion ou catamaran neuf ? Faut-il assurer son voilier ? Et les pirates et le mal de mer et les cyclones et l'âge du capitaine...
     


    Questions/réponses


    EXTRAITS :

       Comme nous vous le proposons dans notre livre, nous répondons avec plaisir aux questions de nos lecteurs rêvant ou ayant le projet de lever l'ancre. Depuis avril 2007, nous postons ces échanges sur cet espace Questions / Réponses afin d'en faire profiter le plus grand nombre. Cette rubrique s'étoffera progressivement.
    Bateau à voiles ou à moteur ? Dans votre analyse comparative sur les avantages et les inconvéniants du bateau à voile par rapport au bateau à moteur je n'ai pas vu le paramétre cout du carburant ni celui de l'autonomie limité par la capacité du réservoir, mais peut-etre devrai-je la relire. Etant en préparation d'un voyage je suis intéressé par votre avis sur ces
    paramétres. Bravo pour votre livre que j'ai lu avec grand plaisir. Guy C.
    Bateau à voiles ou à moteur ?
    Et comment s'est passé votre retour à terre ? Voilà une bonne mais difficile question, sans doute la plus difficile d'une croisière sabbatique. Nous avons rédigé un article sur le sujet à la demande de nos amis d'Hisse-et-oh : Retour après un congé sabbatique à la voile ou un grand voyage en bateau...
    Édition ou autoédition pour un livre de mer ?
    J'ai terminé votre livre et souhaitais vous féliciter. Tant au niveau de l'écriture, de la présentation que de la promotion.... car on le voit partout ! Cela doit représenter un travail colossal à titre d'auteur éditeur ? J'aimerais échanger avec vous sur le sujet car j'ai moi-même un livre de mer en préparation. Votre expérience de l'autoédition pourrait m'éclairer. Michel, Paris 18 Édition ou autoédition pour un livre de mer ?
     
    Catamarans Nautitech : Nautitech 395 et Nautitech 40
    Je dois me décider pour l'achat du catamaran sur lequel nous allons partir et je m'intéresse au catamaran Nautitech 40 que vous devez bien connaître. Pourriez vous me donner votre regard sur ces catamarans en tant que catamarans de voyage ? Patrick – Aix en Provence Catamaran Nautitech 395 et Nautitech 40, catamarans de voyage ?
    Choix du catamaran : Nautitech 395 ou Catana 381 ? Ma femme et et moi sommes des inconditionnels de votre livre depuis que nous avons décidé de partir en famille en cata en voyage. Nous nous reconnaissons dans beaucoup de vos préoccupations. Celle du moment est l'achat du bateau. Nous considérons sérieusement l'achat du nautitech 40, le petit frère du 395. Nous hésitons avec un Catana 381, qui est un bateau très marin, à dérive mais un peu plus ancien.
    Ma question est la suivante. Êtes vous globalement satisfait des qualités nautiques du 395? Vous sentiez vous en sécurité à bord par gros temps? Le bateau tapait il beaucoup, notamment au près? Je sais que ce n'est pas exactement le même bateau, mais la conception du 40 a été fortement inspirée par le 395. Merci d'avance! Cordialement,  Benoît V.

    Choix du catamaran : Nautitech 395 ou Catana 381 ?
    Durée de vie d'un moteur
    Je relis pour la 3ème fois votre livre avec toujours autant de plaisir. J'envisage l'achat d'un cata d'occasion pour un voyage d'une année ou plus, des caraïbes en Nouvelle Calédonie. Une question revient souvent à mon esprit: les catas sortant de charter après 5 années sont vendus avec des moteurs ayant tourné de 3000 à 4500 heures. Je n'ai aucune idée de ce que cela représente dans la vie d'un moteur: combien d'heures avaient tourné vos moteurs lors de l'achat du TomNeal ? Encore bravo pour votre livre et peut être écrirez vous le second après votre TDM… Cordialement. Robert. Nouvelle Calédonie Quelle Durée de vie pour un moteur
    Avoir une arme à bord ou non
    Nous lèverons l'ancre dans un plus de 2 ans, mais nous sommes déjà dans la préparation de notre voyage depuis 1 an. Je me pose la question d'avoir une arme à bord et serais intéressé d'avoir votre avis à ce sujet. Philippe. Saint-Nazaire
    Les joyeux pirates

    Que faire face au mal de mer
    Je suis assez tentée de suivre mon mari dans son rêve de croisière au long court, mais j'ai peur du mal de mer. J'ai beau naviguer depuis de nombreuses années, j'y suis toujours très sensible. Avez-vous vous-même ou dans votre entourage été confronté à ce problème ? Florence. Belgique.
    Dur pour les durs

     

     













    lu sur :
    http://www.developpement-durable.gouv.fr/Information-aux-proprietaires-des.html

    Information aux propriétaires des navires de marque DEAN 441, du chantier DEAN CATAMARAN CC, construits entre 2005 et 2011

    30 juin 2014 (mis à jour le 2 juillet 2014)

    Le constructeur, aujourd’hui disparu, a mis sur le marché ces navires par le biais de mauvais rapports d’évaluation « CE de type » ; le rapport mentionné sur la déclaration écrite de conformité (DEC) a été établi par l’organisme notifié ECB Netherlands uniquement pour les modèles DEAN 440. Les navires de marque DEAN 441 n’ont donc pas été évalués.

    Par ailleurs, des défauts de construction (fêlures, décollements, faiblesse structurelle de la cloison n°2…) sont signalés sur certaines unités. Une procédure a été mise en place par le fabricant pour les réparer jusqu’à la cessation de son activité, en janvier 2013.
    Ces manquements constituent des éléments pertinents imposant l’information de l’usager d’un potentiel risque grave sur le navire.
    En conséquence, afin de s’assurer que, dans des conditions normales d’utilisation, les navires présentent la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre et ne portent pas atteinte à la santé des personnes, la procédure suivante, liée à l’absence du fabricant, responsable de la conformité, doit, suivant le cas, être appliquée :
    1. Le navire a bénéficié de la procédure de réparation du fabricant. Le propriétaire fournit à la mission de la navigation de plaisance un document justifiant l’intervention technique sur le navire.
    2. Le navire fait l’objet d’un projet de vente. Avant tout changement de propriétaire,
    - le propriétaire établit une attestation de responsabilisation du bon état de navigabilité du navire pour les conditions de navigation pour lesquelles il a été mis sur le marché,
    ou
    - un organisme notifié fournit un rapport d’évaluation après construction du navire.
    L’un de ces deux documents doit être joint au certificat de vente.
    3. Le navire n'a pas bénéficié de la procédure de réparation du fabricant et est conservé par son propriétaire. Celui-ci est libre de solliciter ou non un organisme notifié pour une évaluation de la solidité structurelle du navire.



    il va falloir apprendre les manœuvres : car il y a quelques changements...



    LE MOUILLAGE


    Trouver le bon endroit

    Un premier tour dans cette jolie baie inconnue vous permet de trouver l'endroit adéquat pour votre mouillage. C'est bien repéré ? Alors il faut y aller !

    Bien se préparer

    Là encore, il vaut mieux tout préparer avant d'arriver dans un endroit éventuellement encombré par d'autres bateaux. Commencez par libérer la chaîne de son palan, puis dégagez l'ancre, afin qu'elle descende légèrement. Elle descendra ainsi immédiatement lorsque vous aurez trouvé le lieu idéal de mouillage.

    Immobiliser le catamaran

    Ca y est, vous y êtes. Idéalement, il faut immobiliser votre catamaran face au vent, en prévoyant suffisamment d'espace autour de vous pour l'évitage

    L'ancre est prête

    L'ancre est prête à être mouillée

    Pressez simplement le bouton...

    Pressez simplement le bouton qui permet de descendre la chaîne. Lorsque celle-ci touche le fond, laissez filer encore au minimum trois fois la hauteur d'eau

    mettre la patte d'oie :

    ça c'est nouveau, y'en a pas sur un mono

    Lorsque l'ancre est bien accrochée, vous pouvez maintenant frapper la patte d'oie afin de bien équilibrer le catamaran.      Embrayez vos moteurs en marche arrière
    Embrayez maintenant vos moteurs en marche arrière, afin d'aider l'ancre à bien crocher le fond.

    Larguer  un peu de mouillage

    Une fois le mousqueton frappé sur la chaîne, larguez encore un peu de mouillage, afin que la tension soit également répartie sur la patte d'oie et non plus sur la chaîne. Lorsque celle-ci est molle, l'opération est terminée.

    Profiter du mouillage...

    C’est fait ! Vous y êtes. Il ne reste qu'à couper les moteurs, et profiter du mouillage…



    LE VIREMENT DE BORD


    Prendre le maximum de vitesse

    Quelque soit votre angle par rapport au vent, il faut prendre le maximum de vitesse.

    Commencer par choquer un peu de chariot

    Commencer par choquer un peu de chariot d'écoute de grand-voile, puis de génois.

    Abattre

    Abattre d'environ 10°, pour donner de la puissance, et de la vitesse.

    Tous les équipiers sont prêts : "klar zu wenden "

    " on vire "

    Tous les équipiers sont prêts et savent ce qu'ils doivent faire. Un doit être prêt à border le génois, tandis qu'un autre est prêt à le choquer de l'autre côté. La grand-voile se gère toute seule… On vire !
    Klar zu wenden !

    On peut laisser le génois à contre

    On peut laisser le génois à contre un certain temps pour ne pas manquer à virer

    Choquer la contre-écoute

    Dès que le bateau est bien sous l'autre amure, vous pouvez choquer la contre-écoute de génois et border l'écoute

    Abattre franchement

    N'hésitez pas à abattre franchement pour reprendre de la vitesse, avant de reprendre le bon cap et de régler vos voiles et chariot d'écoute…



    AFFALER LES VOILES


    Rouler le génois

    Roulez le génois ne pose pas de problème particulier. Pendant qu'un équipier maintient le génois tendu avec son écoute pour éviter qu'il ne batte, un autre enroule la voile d'avant.

    Affaler la grand-voile

    Pour affaler la grand-voile, il faut commencer par mettre le bateau face au vent. On démarre donc les moteurs afin de placer le bateau en position. Pour éviter toute "embrouille", vérifiez bien que la drisse de GV est claire. L'idéal est de lover la drisse en 8. Cette technique utilisée en course permet de s'assurer que la drisse filera sans problème.


    Ouvrir le coinceur

    Après vous être assuré que les lazy-jacks sont bien repris et que l'écoute de GV est choquée, vous devez border légèrement la drisse pour pouvoir ouvrir le coinceur. Pour éviter que la voile ne tombe d'un coup, et l'accompagner dans la descente conservez un tour mort sur le winch

    la grand-voile descend…

    Et c'est parti : la grand-voile descend…

    Un équipier peut aider

    Un équipier peut l'aider à se plier correctement.

    Lazy jack : ça aussi c'est nouveau, fini l'enrouleur de GV !

    Une fois descendue, on bloque la drisse et on ferme le lazy jack

    Ranger

    Il ne reste plus qu'à ranger les drisses et écoutes…



    PRENDRE UN RIS


    Le vent monte !

    Le vent monte, il est temps de prendre un ris… Le plus simple est d'amener le bateau au près, afin de faciliter la manœuvre. Vous choquez un peu de chariot de GV, puis un peu d'écoute de GV. Il faut ensuite border la drisse de la grand-voile, afin de la libérer du coinceur.

    Ouvrez le coinceur

    Ouvrez ensuite le coinceur de la drisse…

    Laisser descendre la grand-voile

    en maintenant un tour mort sur le winch, laissez descendre la grand-voile jusqu'au niveau du premier ris.

    Crocheter le ris

    Il ne reste qu'à crocheter votre ris, puis à refermer le coinceur de la drisse.

    Etarquer la drisse de grand-voile

    Etarquez à nouveau la drisse de grand-voile, puis la bosse de ris, et enfin le chariot de grand-voile et l'écoute.


    Et c'est reparti

    Et c'est reparti de plus belle !



    LA MISE À QUAI D'UN MULTICOQUE

    Approcher en marche arrière

    Pour venir s'amarrer le long d'un ponton, il est toujours plus facile d'approcher en marche arrière. Tout simplement pour faciliter la vision du quai approchant, et pour faciliter la tache de l'équipier qui devra sauter sur le quai…

    Les amarres sont prêtes

    On approche du quai, doucement en marche arrière. Les amarres sont prêtes, frappées sur le taquet… Un équipier est prêt à intervenir avec un pare-battage… Juste au cas où !

    L’équipier descend alors à terre

    Quand vous êtes suffisamment proche du quai, pour qu’un équipier puisse sauter à terre, vous embrayez en marche avant, de façon à immobiliser le bateau. L’équipier descend alors à terre…

    Frapper la pointe arrière

    Il doit maintenant frapper la pointe arrière.

    Manoeuvrer pour que le bateau vienne parallèle au quai

    Une fois bien immobilisé par l'arrière, vous avancez lentement, en augmentant le régime du moteur opposé au quai, jusqu’à ce que le bateau vienne le long du ponton, bien parallèle.

    frapper la pointe avant

    Il ne reste plus à l'équipier à terre à frapper la pointe avant.

    Régler vos amarres

    Et à régler convenablement vos amarres et pare-battages.

    Couper le moteur

    C'est tout bon, vous pouvez couper le moteur…
      




    QUITTEZ VOTRE PLACE DE PORT


    Démarrez vos moteurs

    Avant tout, démarrez vos moteurs, afin qu'ils soient à la bonne température.

    Préparez vos amarres

    Préparez vos amarres en les doublant (avant et arrière), afin de pouvoir les larguer du catamaran facilement le moment venu. Enfin, préparez les défenses, en cas de choc avec le ponton.

    Préparez votre équipage

    Préparez votre équipage en prenant le temps d'expliquer à chacun son rôle, et à quel moment il devra agir. N'hésitez pas à répéter la manœuvre "à blanc", afin que chacun connaisse son rôle.

    Larguer l'avant

    Il est temps d'y aller. Vous embrayez en marche avant les moteurs, afin de larguer l'avant.

    Embrayer en marche avant

    Une fois l'amarre récupérée, et sans précipitation, vous pouvez maintenant embrayer en marche avant le moteur côté opposé où vous voulez aller.

    On largue l'arrière

    On largue l'arrière, en faisant très attention à ne pas prendre l'amarre dans l'hélice…

    Vous êtes partis…


    Rangement

    Il faut maintenant ranger les défenses dans les coffres.






    ENVOYER LES VOILES



    Mettre le bateau face au vent

    Il est temps de partir… Commencez par mettre le bateau face au vent (en vous aidant de la girouette), et l'y maintenir grâce à vos moteurs.

    Préparez la grand-voile

    Il faut ensuite préparer la grand-voile à être hissée. Il faut donc ouvrir le easy-bag et bien le dégager afin de faciliter le passage de la grand-voile dans les lazy-jacks.

    Libérez et choquez les bosses de ris

    Pensez à bien libérer et choquer les bosses de ris et à choquer suffisamment l'écoute.

    Hissez la grand-voile à la main

    Commencez par hisser la GV à la main.

    Utilisez le winch

    Puis lorsque cela devient trop difficile, avec le winch. Attention, de ne pas trop forcer, la force d'un winch est parfois… impressionnante !

    Utilisation du guindeau

    On peut aussi utiliser le guindeau en lieu et place d'un winch électrique. C'est facile, mais attention à ne pas tout arracher : le guindeau est très puissant… La grand-voile est maintenant haute, vous pouvez laisser porter et faire route…

    lovez la drisse de grand-voile

    Il faut maintenant lover la drisse de grand-voile correctement, afin de pouvoir la laisser filer en grand si nécessaire.

    Le génois sur enrouleur

    Il faut à présent s'occuper du génois sur enrouleur. On commence, comme toujours, par vérifier qu'écoute et contre-écoute du génois ainsi que le bout de l'enrouleur soient bien clairs.

    Attention en cas de vent fort

    S'il y a beaucoup de vent, un équipier peut prendre un tour mort sur un winch avec la drosse d'enrouleur, afin d'éviter que le génois ne se déroule d'un coup. Par vent faible, il suffit de le tenir à la main.

    Bordez l'écoute

    Une fois la surface désirée déroulée, il ne reste plus qu'à border l'écoute du génois…

    … Et c'est parti !

     
     
    ( VU SUR VOILES ET VOILIERS)

     

     

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