MES FILMS
j'ai visionné cet été aux îles la série des sept saison de "Game of Thrones" et suis devenue une fan !
Game of Throne
Il y a très longtemps, à une époque oubliée, une force a détruit l'équilibre des saisons. Dans un pays où l'été peut durer plusieurs années et l'hiver toute une vie, des forces sinistres et surnaturelles se pressent aux portes du Royaume des Sept Couronnes. La confrérie de la Garde de Nuit, protégeant le Royaume de toute créature pouvant provenir d'au-delà du Mur protecteur, n'a plus les ressources nécessaires pour assurer la sécurité de tous. Après un été de dix années, un hiver rigoureux s'abat sur le Royaume avec la promesse d'un avenir des plus sombres. Pendant ce temps, complots et rivalités se jouent sur le continent pour s'emparer du Trône de Fer, le symbole du pouvoir absolu.
Genre:Drame,Fantastique,
DIMANCHE 16 OCTOBRE 2016
SAMEDI 8 OCTOBRE 2016
Los Angeles, années 50. Alors que la ville est sujette à une vague de règlements de comptes après la chute du caïd Mickey Cohen, la police criminelle se mobilise toute entière sur l'affaire de L'Oiseau de nuit, un massacre au cours duquel est tombé un ancien flic. Trois inspecteurs au style radicalement différent vont être amenés à coopérer pour démêler les fils d'une histoire plus compliquée qu'il n'y paraît...
Un univers impitoyable
Cette
belle adaptation du roman de James Elroy est réussi au-delà des l’efficacité
implacable de l’intrigue. Ce film est aussi un véritable hommage oà Los
Angeles, et cette aspiration lui donne une dimension supérieure à celle d’un
simple polar. Tous les ingrédients du genre sont cependant bien là :
mystère, violence, trahison, désir…On est scotché du début à la fin. D’autant
que les acteurs sont parfaits : Russell Crowe, Guy Pearce, Kevin Spacy et
Kim Basinger sont au meilleur de leur forme ! L.A.Confidential n’a pas pris une ride et fait partie des films
conservés à la bibliothèque du Congrès aux Etats-Unis pour son « importance culturelle, historique ou
esthétique ». What Else ?
Synopsis et détails
Adapté de faits réels, Spotlight retrace la fascinante enquête du Boston Globe – couronnée par le prix Pulitzer – qui a mis à jour un scandale sans précédent au sein de l’Eglise Catholique. Une équipe de journalistes d’investigation, baptisée Spotlight, a enquêté pendant 12 mois sur des suspicions d’abus sexuels au sein d’une des institutions les plus anciennes et les plus respectées au monde. L’enquête révèlera que L’Eglise Catholique a protégé pendant des décennies les personnalités religieuses, juridiques et politiques les plus en vue de Boston, et déclenchera par la suite une vague de révélations dans le monde entier.
Distributeur Warner Bros. France
Récompenses 9 prix et 13 nominations
Voir les infos techniques
Année de production 2015
Date de sortie DVD 08/06/2016
Date de sortie Blu-ray 08/06/2016
Type de film Long-métrage
Secrets de tournage 15 anecdotes
Le long-métrage suscite également de nombreuses réactions au sein de la communauté catholique internationale. L'éditorialiste de l'Osservatore Romano, Lucetta Scaraffia a ainsi écrit: «Les prédateurs ne portent pas forcément l'habit ecclésiastique et la pédophilie ne dérive pas nécessairement du vœu de chasteté. Mais il est désormais clair que, dans l'Église, trop de gens se sont plus préoccupés de l'image de l'institution que de la gravité de l'acte».
«Tout cela ne peut justifier la faute gravissime de celui qui, représentant de Dieu, se sert de cette autorité pour abuser d'innocents: c'est bien raconté dans le film. Il convainc par sa trame. Mais ce n'est pas pour autant un film anticatholique», assure la journaliste italienne.
Une religieuse américano-canadienne, sœur Helena Burns, membre des Filles de Saint-Paul, qui est une critique de cinéma bien connue au Canada, estime qu'il est fondamental d'aller découvrir ce film. «Pourquoi voir ce film? Pour, en premier lieu, honorer les victimes. Deuxièmement pour comprendre comment la corruption fonctionne, et s'y opposer», affirme-t-elle sur son site.
De son côté, le Vatican partage l'avis général: «Ce film, tous les évêques et les cardinaux, surtout les responsables des âmes, devraient le voir, parce qu'ils doivent comprendre que c'est la dénonciation qui sauvera l'Église, et pas l'omerta».
Réaction plus virulente de la part de Mgr Charles Scicluna, archevêque de La Valette (Malte). Ce dernier n'a pas mâché pas ses mots dans une interview donnée à La Repubblica, le 18 février dernier: «Le film montre combien la tendance de l'Église à protéger la bonne réputation, était une grave erreur. Il ne peut y avoir de miséricorde sans justice».
Plus tourné vers l'avenir, l'archevêque Mgr Giovanni Angelo Becciu, estime dans les colonnes du Corriere della Sera, que cette histoire est le fruit du passé: «Depuis cette affaire, nous avons retenu la leçon.» Avant d'ajouter: «Je ne crois pas qu'il existe au monde une institution sociale et politique qui se soit autant engagée comme l'Église à faire un aussi grand nettoyage et à mettre en pratique toutes les méthodes pour prévenir d'autres abus.»
Le projet, dévoilé en pendant le Marché du film de Cannes, est annoncé comme « du pur Verhoeven, extrêmement érotique et pervers[9] ». Le coproducteur du film Arte France Cinéma le décrit comme un « portrait de femme dans lequel on retrouve la verve, la violence, l’énergie vitale et les talents de satiriste » du réalisateur[10].
Le film, rebaptisé Elle, est prévu pour être filmé à Boston en langue anglaise mais, d'après Paul Verhoeven, il s'est avéré impossible de tourner un sujet aussi sulfureux aux États-Unis[11]. Il choisit alors de tourner en langue française et à Paris. Afin de communiquer comme il le souhaite avec les équipes du film, le réalisateur suit pendant quinze jours des cours intensifs de français dans un institut de langue aux Pays-Bas[12]
http://www.huffingtonpost.fr/delphine-aslan/elle-fait-bander-les-crit_b_10253466.html.
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2 OCTOBRE
RÉACTIONS - L'Oscar du meilleur film 2016 agite actuellement la communauté catholique. Beaucoup de ministres du culte et de fidèles déplorent les scandales pédophiles couverts par l'institution ecclésiastique.
«Un film dérangeant mais nécessaire», déclare une spectatrice, à la sortie d'un cinéma parisien. Catholique, la jeune femme explique s'être néanmoins sentie «mal à l'aise» à la séance du film Spotlight.
Le long-métrage de Thomas McCarthy, qui a reçu récemment l'Oscar du meilleur film, retrace avec beaucoup de précision l'enquête des journalistes du Boston Globe ayant dénoncé le scandale de la pédophilie dans l'Église américaine en 2002.
«J'accompagne souvent mes parents à l'église et j'ai été élevée dans la religion catholique. En découvrant le film, je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir un peu trahie par cette institution que je respecte et que j'affectionne depuis que je suis toute petite», confie la jeune croyante.
Avant d'ajouter avec conviction: «Cette histoire me touche profondément, ça aurait
pu être moi, à la place de ces enfants... le film raconte des faits qui se sont passés aux États-Unis mais ce genre d'affaire n'a pas de frontière. J'espère vraiment que Spotlight fera réagir l'Église pour que jamais cela ne se reproduise.»
Le père Amar, prêtre du diocèse de Versailles, a lui aussi fait le déplacement: «Je suis allé voir Spotlight, vêtu de ma tenue de prêtre. Ce soir-là, je n'étais pas à l'aise. Pendant le film, j'ai eu la nausée parce que l'Église, c'est ma famille. J'ai pleuré à la fin, mais ça ce n'est rien par rapport à ce que les victimes doivent vivre. Ces faits sont abominables, c'est une honte pour l'Église», témoigne l'ecclésiastique au micro d'une radio locale. Le long-métrage suscite également de nombreuses réactions au sein de la communauté catholique internationale. L'éditorialiste de l'Osservatore Romano, Lucetta Scaraffia a ainsi écrit: «Les prédateurs ne portent pas forcément l'habit ecclésiastique et la pédophilie ne dérive pas nécessairement du vœu de chasteté. Mais il est désormais clair que, dans l'Église, trop de gens se sont plus préoccupés de l'image de l'institution que de la gravité de l'acte».
«Tout cela ne peut justifier la faute gravissime de celui qui, représentant de Dieu, se sert de cette autorité pour abuser d'innocents: c'est bien raconté dans le film. Il convainc par sa trame. Mais ce n'est pas pour autant un film anticatholique», assure la journaliste italienne.
De son côté, le Vatican partage l'avis général: «Ce film, tous les évêques et les cardinaux, surtout les responsables des âmes, devraient le voir, parce qu'ils doivent comprendre que c'est la dénonciation qui sauvera l'Église, et pas l'omerta».
Réaction plus virulente de la part de Mgr Charles Scicluna, archevêque de La Valette (Malte). Ce dernier n'a pas mâché pas ses mots dans une interview donnée à La Repubblica, le 18 février dernier: «Le film montre combien la tendance de l'Église à protéger la bonne réputation, était une grave erreur. Il ne peut y avoir de miséricorde sans justice».
Plus tourné vers l'avenir, l'archevêque Mgr Giovanni Angelo Becciu, estime dans les colonnes du Corriere della Sera, que cette histoire est le fruit du passé: «Depuis cette affaire, nous avons retenu la leçon.» Avant d'ajouter: «Je ne crois pas qu'il existe au monde une institution sociale et politique qui se soit autant engagée comme l'Église à faire un aussi grand nettoyage et à mettre en pratique toutes les méthodes pour prévenir d'autres abus.»
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VU LE 5 OCTOBRE
Elle est un thriller germano-français réalisé par Paul Verhoeven, sorti en 2016, adaptation du roman « Oh... » de Philippe Djian.
Quinzième long-métrage du réalisateur, Elle marque son retour au cinéma, dix ans après la sortie de son précédent film, Black Book et est présenté en compétition officielle au Festival de Cannes 2016.
Michèle fait partie de ces femmes que rien ne semble atteindre. À la tête d'une grande entreprise de jeux vidéo, elle gère ses affaires comme sa vie sentimentale : d'une main de fer. Sa vie bascule lorsqu’elle est agressée chez elle par un mystérieux inconnu. Inébranlable, Michèle se met à le traquer en retour. Un jeu étrange s'installe alors entre eux. Un jeu qui, à tout instant, peut dégénérer.
Le producteur Saïd Ben Saïd lui soumet alors le roman « Oh... » de Philippe Djian et Paul Verhoeven se montre vite enthousiaste à l'idée d'en faire un film : « C'était très différent de ce que j'avais fait auparavant. J'ai toujours pensé qu'il fallait ne jamais se répéter mais au contraire explorer de nouveaux territoires, ne pas se sentir en sécurité. D'un point de vue existentiel, c'est important de ne pas savoir ce qui vous attend. C'est ma manière de renouveler ma créativité, meme si ça peut être effrayant. C'est pour cette raison que je n'ai jamais réalisé de suites à mes propres films qui ont fait l'objet de remakes ou de sequels[7]. »
Le réalisateur est particulièrement intéressé par la force et la complexité de l'héroïne ainsi que par la structure du récit. « À la lecture du livre, j'ai immédiatement aimé cet équilibre entre le thriller et tout ce que ses relations avec autrui révèlent de sa personnalité. Son caractère est défini par la manière dont elle traite les autres. Il n'y a aucune introversion ni d'explication psychologique à son comportement. Elle est simplement définie par ses actions[7]. » Paul Verhoeven voit également un parallèle entre l'histoire de Elle et celle de l'un de ses films préférés, Belle de jour de Luis Buñuel, l'histoire d'une femme riche qui décide de se prostituer parce qu'elle s'ennuie : « Il y a quelque chose de Belle de jour dans Elle dans le sens où mon film aborde aussi des comportements jugés immoraux ou anormaux en les traitant comme s'ils étaient normaux[8]. »Le projet, dévoilé en pendant le Marché du film de Cannes, est annoncé comme « du pur Verhoeven, extrêmement érotique et pervers[9] ». Le coproducteur du film Arte France Cinéma le décrit comme un « portrait de femme dans lequel on retrouve la verve, la violence, l’énergie vitale et les talents de satiriste » du réalisateur[10].
Le film, rebaptisé Elle, est prévu pour être filmé à Boston en langue anglaise mais, d'après Paul Verhoeven, il s'est avéré impossible de tourner un sujet aussi sulfureux aux États-Unis[11]. Il choisit alors de tourner en langue française et à Paris. Afin de communiquer comme il le souhaite avec les équipes du film, le réalisateur suit pendant quinze jours des cours intensifs de français dans un institut de langue aux Pays-Bas[12]
http://www.huffingtonpost.fr/delphine-aslan/elle-fait-bander-les-crit_b_10253466.html.
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2 OCTOBRE
LA MARQUE DES ANGES est un film franco-belge réalisé par Sylvain White, sorti en salle le 26 juin 2013. Il s'agit de l'adaptation cinématographique du thriller Miserere de Jean-Christophe Grangé.
Lionel Kasdan, commissaire retraité, enquête sur la mort d'un chef de chorale qui a eu les tympans détruits. Son enquête va l'amener à un policier d'Interpol en pleine cure de désintoxication qui enquête sur une organisation secrète, suspectée d'enlèvement d'enfants. Les deux policiers acceptent de travailler ensemble pour découvrir la vérité.
J'avais lu cet été le livre mais je n'ai pas été déçue, bien au contraire : Depardieu, magistral, Joey Starr en face de lui, forment un bon duo d'enquêteurs.
J'ai également lu cet été "Le serment des Limbes", La ligne noire, Le passager
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