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Le saviez-vous ?

En tant que fan de la série "Le Trône de Fer" ("Game Of Thrones"), je viens de découvrir au cours de mes recherches sur Internet ,  dans les résultats d'une étude publiée dans la revue scientifique Antiquity, que l’année 536 a été marquée par des phénomènes météorologiques extrêmes : cette année-là un brouillard mystérieux a plongé l’Europe, le Moyen-Orient et certaines parties de l’Asie dans l’obscurité, jour et nuit, pendant 18 mois. « Le soleil a donné sa lumière sans éclat, comme la lune, pendant toute l’année », écrit alors l’historien byzantin Procopius. Les températures de l’été 536 ont ainsi chuté de 1,5 °C à 2,5 °C, amorçant ainsi la décennie la plus froide des 2 300 dernières années. La neige est même tombée en plein été en Chine.
Ce climat extrême a alors anéanti les récoltes et entraîné une grande famine. Les chroniques irlandaises de l’époque évoquent « un échec du pain des années 536-539 ». Les habitants, fragilisés, subissent ensuite de plein fouet la peste de 541 qui frappe le port romain de Pelusium, en Égypte, anéantissant près de la moitié de la population de l’Empire romain d’Orient et accélérant son effondrement, assure Michael McCormick.  Une éruption volcanique qui aurait entraîné un brouillard persistant et une forte chute des températures aux conséquences dramatiques qui "marque le début d’une des pires périodes de l’Histoire pour être en vie, sinon la pire année »,assure Michael McCormick, membre de l’équipe de recherche et historien médiéval à Harvard, interrogé par Science Magazine.

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Après avoir visionné cet été aux îles les sept saisons de "Game Of Thrones" j'ai téléchargé les livres numériques que j'ai pu lire lors de nos dernières navigations = SUPER

Le Trône de fer
Roman de George R. R. Martin
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Le Trône de fer est une série de romans de fantasy de George R. R. Martin, dont l'écriture et la parution sont en cours. Martin a commencé à l'écrire en 1991 et le premier volume est paru en 1996 chez Bantam Books. Wikipédia


On ne présente plus cette série. Elle est devenue un must depuis la diffusion des premiers épisodes de son adaptation Télé. Pour ma part, je l'ai découverte, il y a peu. 


Cette lecture fut un choc, même après avoir regardé la série. 

Comment l'auteur osait-il jouer ainsi avec ses personnages ? Nous les faire aimer, nous les faire soutenir et les faire mourir dès le début de l'histoire ? Je ressentais cela comme un affront et si j'avais été en face de l'auteur, je n'aurais pas hésité à lui dire ma façon de penser.


 Je sais ! C'est indigne de quelqu'un de mon âge. 



Georges R. R. Martin tisse sous nos yeux une société complexe, basée sur le modèle féodal et sa vision est plus proche de la vraie société médiévale que bien des ouvrages prétendument calqués sur cette époque. Exit les romans de chevalerie. Le preux chevalier est régicide et incestueux. Le vainqueur des tournois, qui brise tous les cœurs et fait pâmer les damoiselles, préfère les hommes, Le seul personnage qui respecte le code de la chevalerie est une femme, etc. On est bouleversé par la violence des actions, les intrigues perverses et les changements d'alliance au gré des intérêts de chacun. C'est dur, c'est brutal et pourtant on ne peut pas s'en détacher. Un peu comme ces personnes qui s’arrêtent aux bord des routes lorsque survient un accident. 


Je suis souvent agacée lorsque je vois dans un magasin dit "culturel" ou sur Internet, les ouvrages de fantasy classé dans la section "adolescents" ou "jeunesse". Avant la diffusion télé, lorsque l'on me déclarait que ce genre était "pour les gosses", je leur conseillais la lecture du "Trône de Fer", et une fois cette lecture faite, de se demander s'il allaient la conseiller à leur chers têtes blondes. Non, ces ouvrages ne sont pas pour les enfants, ni pour les jeunes ados d'ailleurs. 


  


En conclusion, cette série, devenue culte, est incontournable. Vous ne pouvez pas prétendre connaître la Fantasy sans l'avoir lu. J'insiste ! Il faut la lire et ne pas se contenter de regarder son adaptation. Même si cette œuvre reste inachevée, elle mérite votre attention car vous n'en sortirez pas indemne.









Quand sort la recluse / Fred Vargas


– Trois morts, c’est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n’est pas de notre compétence.
– Ce qu’il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J’ai donc rendez-vous demain au Muséum d’Histoire naturelle.
– Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue ?
– Je vois très bien dans les brumes, dit Adamsberg un peu sèchement, en posant ses deux mains à plat sur la table. Je vais donc être net. Je crois que ces trois hommes ont été assassinés.
– Assassinés, répéta le commandant Danglard. Par l’araignée recluse ?
Avis : Un adage nous dit qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Fred Vargas semble en avoir fait le cheval de bataille de son héros, le commissaire Adamsberg.
Avec son expérience et son intuition, il devrait avoir tout en main pour résoudre une affaire qu’on ne lui a pas du tout confiée, mais qui lui tient étrangement à cœur. On a cette impression qui nous tient tout au long du roman d’avoir tout compris du pourquoi du comment, de qui à fait quoi… Il n’en est rien jusqu’aux dernières pages ! Ce qui apparaît comme une intrigue secondaire devient finalement l’enquête principale. L’intrigue nous entête aussi bien qu’elle prend aux tripes le commissaire Adamsberg. Là où personne n’y aurait vu un crime, Fred Vargas et son héros Adamsberg nous embarquent dans une enquête rocambolesque. Quand sort la recluse nous fait voyager aux quatres coins de la France, on mêle passé et présent pour débusquer le motif de l’assassin. Le commissaire entraîne avec lui toute la brigade, ou presque, dans son envie de comprendre, de démêler un imbroglio mis en place depuis des années par l’assassin. Les explications fines, rares et précises de Fred Vargas au sujet de la recluse, aussi bien celle du Moyen-Age que de l’araignée, vous procureront des frissons à regarder partout autour de vous.
Fred Vargas ravie notre imagination pour nous offrir un nouvel opus de sa saga, qui pour moi est l’un des plus aboutiDu grand Vargas !




Sur ma peau / Gillian Flynn


La ville de Wind gap dans le Missouri est sous le choc : une petite fille a disparu. Déjà l’été dernier, une enfant avait été sauvagement assassinée… Une jeune journaliste, Camille Preaker, se rend sur place pour couvrir l’affaire. Elle-même a grandi à Wind gap. Mais pour Camille, retourner à Wind gap, c’est réveiller de douloureux souvenirs. À l’adolescence, incapable de supporter la folie de sa mère, Camille a gravé sur sa peau les souffrances qu’elle n’a pu exprimer. Son corps n’est qu’un entrelacs de cicatrices… On retrouve bientôt le cadavre de la fillette. Très vite, Camille comprend qu’elle doit puiser en elle la force d’affronter la tragédie de son enfance si elle veut découvrir la vérité…
Avis : J’ai sorti Sur ma peau de ma PAL à l’occasion de son adaptation en mini-série par HBO, que je souhaitais voir, mais pas avant d’avoir lu le livre. Le premier roman de Gillian Flynn est un thriller d’ambiance. Camille Preaker, jeune journaliste de Chicago retourne dans la petite ville de son enfance pour couvrir la disparition de 2 petites filles.
À Wind Gap, le soleil brûle l’asphalte, les ragots vont bon train et l’exploitation porcine fait vivre la ville. Mais ce n’est rien face à l’atmosphère étouffante et malsaine qui règne au cœur de la maison familiale. Entre une mère qui oscille de l’indifférence à la surprotection, une demi-sœur qui joue les filles modèles à la maison alors qu’elle est connue comme le loup blanc en ville, l’ombre d’une sœur morte et un beau-père apathique, avec son retour, Camille ne peut que mettre du sel sur les cicatrices qu’elle a hérité de son enfance.
L’enquête sur la mort des 2 petites filles reste toujours en arrière-plan de ces pages, tandis que Camille redécouvre la ville, renoue avec d’anciens « amis », et apprend à connaître sa demi-sœur. Sur ma peau étant raconté de son unique point de vue, nous ne sommes témoins que des interviews qu’elle mène pour alimenter sa chronique, et des quelques éléments que le policier en charge de l’enquête veut bien lui dévoiler. J’ai néanmoins assez rapidement deviné le coupable. Même si on comprend pourquoi Camille passe à côté, en tant que lectrice cela me paraît assez difficile d’en faire autant.
Avec Sur ma peauGillian Flynn aborde les thèmes de la famille et de la maladie mentale. Elle présente ici une héroïne écorchée vive, portée sur l’autodestruction. Camille n’est pas une « gentille » fille, elle tente juste de garder la tête hors de l’eau, et boit la tasse quelque fois.
J’ai passé un bon moment avec ce livre, mais ce n’est pas une lecture qui me marquera.



Un avion sans elle / Michel Bussi


Lyse-Rose ou Emilie ? Quelle est l’identité de l’unique rescapé d’un crash d’avion, un bébé de trois mois ? Deux familles, l’une riche, l’autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les médias, ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’affaire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête. Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu’à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante, jusqu’à ce que les masques tombent. Hasards et coïncidences ne sont-ils que les ricochets du destin ? Ou bien quelqu’un, depuis le début, manipule-t-il tous les acteurs de ce drame ?
Avis : Quel immense plaisir de lire ce livre ! Le suspense y est haletant. Je me suis prise à aimer le jeune Marc Vitral, le frère (ou pas ?) de la petite libellule, connue plus tard sous le surnom de Lylie. Et je voulais, comme lui, voir la balance de la chance pencher du bon côté. À savoir, que Lylie ne soit finalement pas une Vitral. C’est par les sentiments de Marc que l’on rentre dans Un avion sans elle, et c’est son parcours du combattant que l’on suit. C’est par ce chemin que Michel Bussi déroule ce mystère.
J’ai également été prise dans l’engrenage de l’enquête plus que prenante (18 ans d’enquête quand même !!!!) de Crédule Grand-Duc. Ce détective privé au nom singulier est un vrai pinailleur. Si quelqu’un devait trouver la solution à ce cas (de conscience ?) ce devait être lui. Pourtant, il est assassiné et son cahier vert ne laisse pas THE réponse.
Dans la famille De Carville, vue par le prisme (faussement ?) déformant de Grand-Duc, il y a le grand-père. Léonce De Carville est maintenant grabataire après deux attaques dû à ses erreurs lors du procès qui devait dire qui était ce petit bébé. Mais à l’époque, il a été féroce et déloyal. Malvina, la grande sœur devenue folle par la faute de son grand-père qui l’a forcée à témoigner alors qu’elle n’avait que 6 ans. Elle tente de ramener sa sœur auprès d’elle par tous les moyens. Et la grand-mère enfin, Mathilde De Carville, qui n’a pas réussi à tourner la page et reste une redoutable adversaire. Elle a laissé faire ce qui devait être fait par son mari (ou Dieu ?) à l’époque. Mais elle va ensuite conclure un pacte avec Nicole Vitral. Elle veut que son argent assure une meilleure vie à la petite rescapée, mais va ainsi immiscer le doute dans la famille Vitral.
Venons-en à la famille Vitral. Je vous ai déjà parlé de Marc et de mon attachement pour ce personnage. Parlons des grands-parents qui vont mener un combat qui semble perdu d’avance, les riches ayant des appuis haut placés. Pierre Vitral d’abord, qui va mourir asphyxié dans la voiture où ils cuisinent les jours de festival. Il était droit dans ses bottes mais n’avait pas le bagou de sa femme, Nicole. Nicole que toute la France va apprécier grâce à son aura et son parlé à la télé. Et qui va pactiser, un peu, avec l’ennemie et beaucoup, avec l’espion de l’ennemie, Crédule Grand-duc.
Nous parlerons peu de Lylie qui n’apparait que dans deux chapitres où elle nous laisse entrevoir ses émotions. Elle est toujours vue par le prisme des autres points de vue. Mais cette jeune femme ne peut que vous émouvoir. Comment se construire quand on ne sait pas d’où l’on vient, quand on ne sait pas si ses sentiments envers son frère sont impurs…
Il y a aussi deux personnages annexes, sans qui cette histoire ne serait pas possible. Ce sont les deux seuls amis de Grand Duc : Nazim et Ayla. Nazim est son adjoint pour les recherches et les traductions en Turquie. Ayla est la femme de Nazim, à qui il raconte sur l’oreiller toutes les horreurs qu’il a commise car Nazim a été espion. Ils sont malgré eux, victimes de cette enquête.
Cette histoire est une histoire de lâcheté, vaguement. Cette enquête est un véritable nœud gordien, car il fallait attendre 18 ans et regarder la une du journal de l’époque pour comprendre le mystère. Et redonner son nom à Lylie.
Le seul bémol à mon enthousiasme pour Un avion sans elle, provient du « baladage » en règle que Bussi utilise encore une fois. Pour On la trouvait plutôt jolie, c’est de Marseille au Sahara, pour Code Lupin, dans toute la Normandie et pour celui-ci, de Paris à Dieppe en passant par la Turquie et bien sûr, le Jura. Cela renforce souvent le suspense mais j’ai trouvé que cela faisait aussi ressortir la trame un peu grossière de cette enquête. Les rebondissements sont souvent de la chance pure…
Il n’en reste pas moins que je lirai d’autres Bussi, mais pas tout de suite… J’ai peur sinon de trop souffrir de me faire balader .

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Code Lupin / Michel Bussi


Et si les aventures d’Arsène Lupin dissimulaient un code ? Un sens secret ? La clé d’un trésor normand bien réel celui-là ? Le célèbre professeur Roland Bergton en est convaincu. Il dispose d’une journée pour percer l’énigme, avec pour seuls indices une pièce d’or trouvée sous les falaises, une nouvelle inachevée de Maurice Leblanc… et l’aide d’une jeune étudiante en histoire, aussi brillante que séduisante…
Avis : Code Lupin ou quand la fiction rencontre la fiction!
Michel Bussi nous a une nouvelle fois concocté une admirable course poursuite ! La jeune étudiante Paloma, en stage dans un office du tourisme de Normandie, recueille une pièce d’or qu’un touriste a trouvé sur la plage. Elle en fait immédiatement part à son distingué et intelligent professeur, Roland Bergton. Celui-ci l’entraine alors à la recherche d’un trésor et ils vont littéralement voler, pédaler, rouler, naviguer, ramer, chevaucher, « motocycler » et marcher, en quête d’indices pour résoudre des codes dont Arsène Lupin ne serait pas peu fier.
C’est donc un vrai jeu de piste rocambolesque qui double cette course poursuite. Avec ce duo de choc(un professeur d’université peu conventionnel et sa meilleure et sexy étudiante), on sillonne la Normandie et on n’est pas loin d’un Da Vinci Code, auquel le titre fait d’ailleurs référence !
Le trésor sera bien entendu plus dans le voyage et les déductions que dans la finalité : devenir riche ! Code Lupin offre une bien belle métaphore, puisque la découverte finale ne leur apporte rien, mais que le roman enchante par ses péripéties et ses belles descriptions, paysagères entre autres.
Code Lupin sera encore plus apprécié par les fans de Maurice Leblanc, dont l’écriture et le héros Arsène Lupin sont ici magnifiés.


On la trouvait plutôt jolie / Michel Bussi


« – Qu’est-ce qui ne va pas, Leyli ? Vous êtes jolie. Vous avez trois jolis enfants. Bamby, Alpha, Tidiane. Vous vous en êtes bien sortie.
– Ce sont les apparences, tout ça. Du vent. Il nous manque l‘essentiel. Je suis une mauvaise mère. Mes trois enfants sont condamnés. Mon seul espoir est que l’un d’eux, l’un d’eux peut-être, échappe au sortilège.
Elle ferma les yeux. Il demanda encore :
– Qui l’a lancé, ce sortilège ?
– Vous. Moi. La terre entière. Personne n’est innocent dans cette affaire. »
Avis : Que dire à part qu’il faut lire ce magnifique livre : poignant, vibrant, haletant, excitant, brillant (et pas que pour sa couverture) et déchirant ! Cela semble faire beaucoup d’adjectifs pour un seul livre mais croyez-moi, On la trouvait plutôt jolie les mérite tous!
Poignant d’abord car il est question d’une mère seule élevant ses enfants. Leyli, dont le prénom est un clin d’oeil à la chanson non moins poignante Lily de Pierre Perret.
Vibrant ensuite, car cette femme est une immigrée dans une France qui ne permet qu’à certains de venir et de s’installer avec les siens. Il est aussi vibrant de ma colère envers ces passeurs sans âme qui ne voient en les migrants que des billets.
Haletant et excitant car Michel Bussi est un maître dans le thriller. On est tenu en haleine du début à la fin et surtout, on est appâté par son premier texte en italique qui ne prendra tout son sens que dans les derniers chapitres. On la trouvait plutôt jolie n’est pas un thriller gore et violent, même si quand on parle d’immigration, il n’est peut-être pas de plus grande violence au monde. Fuir, pour trouver mieux que la mort et la misère. Fuir, à n’importe quel prix….
Ce thriller est aussi brillant car il ne laisse apercevoir son déroulement qu’avec cinq coups d’avance. On se croit à Marseille, on est en fait à Rabat. On se croit dans le désert sahélien, on est à Dubaï. Il m’a parlé et émue, mais aussi fait frémir à l’évocation des violences, des renoncements et de la force malgré tout de cette Leyli. Il est brillant de poésie parfois, comme avec cette parole de Guy sur la mer. Ou les jeux de mot sur Bambi, Faline et Fleur.
Il est déchirant enfin, car ce thème ne peut éluder la bataille et le mordant qu’il faut pour survivre. Il en est même un bouleversant témoignage. Entre la cécité de Leyli, les viols, les meurtres et la violence de l’état français envers ses migrants, sans parler des faux semblants des passeurs et des organisations humanitaires, On la trouvait plutôt jolie est un bijou d’humanité. Je dirai même un trésor, en rappel au trésor de Leyli.
Mais ce trésor, il ne faut pas le cacher mais au contraire le lire et le faire lire pour passer un excellent moment de lecture trépidante ou voir plus loin et faire reculer le racisme et la désinformation sur les migrants.




Résultat de recherche d'images pour "le serment des limbes LIVRE"  Le Serment des limbes est le sixième roman de Jean-Christophe Grangé. Il est paru en . Lorsque Mathieu Durey, flic à la Brigade criminelle de Paris, apprend que son meilleur ami, Luc, flic lui aussi et catholique pur et dur, a tenté de se suicider, il fouille ses dossiers et ne tarde pas à découvrir qu'il enquêtait en secret sur une affaire de meurtre abominable dans le massif du Jura. Une phrase de La Ligne noire, un des précédents romans de Jean-Christophe Grangé, évoquait déjà une partie de l'intrigue du Serment des Limbes, lorsque Khadidja lit les journaux italiens dans les faits divers l'histoire d'une « infirmière de la banlieue de Catane, qui passait pour une sainte et qui venait de tuer son mari à l'acide » (page 495, éditions Albin Michel).




  • Site officiel de Jean-Christophe Grangé
  • Site perso consacré à Jean-Christophe Grangé

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    La Ligne noire est le cinquième roman de Jean-Christophe Grangé. Il est paru en aux Éditions Albin Michel et constitue le premier volet d'une trilogie consacrée à la « compréhension du mal sous toutes ses formes ».
    Un polar haletant, qui fait voyager en Asie du Sud-Est (Malaisie, Cambodge, Thaïlande...), mais aussi dans le monde du journalisme et dans celui des condamnés à mort.   La Ligne noire (Jean-Christophe Grangé)
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