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GAME OF THRONES




Un séjour gratuit en Croatie pour qui devinera la fin de Game of Thrones

Un tour-opérateur fait gagner une semaine en Croatie, pays qui a accueilli un certain nombre de tournages de Game of Thrones, à la personne qui fera le bon pronostic sur la fin de la série américaine.



Devinez quelle sera la fin de Game of Thrones et gagnez un séjour en Croatie : c’est ce que propose Unforgettable Croatia. Ce tour-opérateur britannique, qui organise des voyages de luxe en Croatie, a flairé le bon filon et surfe sur le succès mondial de la série américaine.
En effet, la huitième et ultime saison est en cours de diffusion et attise la curiosité de millions de téléspectateurs à travers le monde. Qui montera sur le trône de fer ? Personne ne le sait, pas même les acteurs : plusieurs fins ont été tournées pour que le secret soit gardé jusqu’au bout !
« Qui va finir sur le trône de fer ? »
Ce qui n’empêche pas Unforgettable Croatia de se questionner sur l’issue de la série : « Dabord, qui va finir sur le trône de fer Est-ce que Daenerys réalisera son rêve de toujours et unifier Westeros avec ses dragons ? Jon fera-t-il une réclamation, à juste titre, une fois quil aura appris la vérité sur sa mère ? Ou est-ce que Sansa et Tyrion finiront par régner ensemble ? »

Dans la série, Dubrovnik est en fait Port-Réal. (Photo : Gary Bembridge/Flickr)

Celui qui trouvera la réponse remportera un séjour pour deux en Croatie au mois d’octobre 2019. Ce pays d’Europe de l’Est abrite de nombreux lieux emblématiques de la série Game of Thrones,comme Dubrovnik qui se transforme en Port-Réal, la capitale du royaume des Sept Couronnes, ou Split, l’une des villes les plus « polyvalentes » de la série (par exemple, c’est dans les souterrains du palais de Dioclétien que Daenerys Targaryen garde ses dragons).
Pour découvrir ces sites, le tour-opérateur offre 3 nuits à Split et 4 nuits à Dubrovnik dans des hôtels 5 étoiles, une visite des lieux de tournage dans les deux villes et une excursion en bateau pour visiter les îles idylliques de Hvar et Vis. Les vols ne sont toutefois pas pris en charge.
Si vous voulez participer au concours, vous avez jusqu’au dimanche 5 mai pour envoyer votre pronostic (pouvant aller jusqu’à 1 000 caractères) sur le site d’Unforgettable Croatia.


Comme Jon Snow (Kit Harrington) et Daenerys Targaryen (Emilia Clarke), vous cherchez vers l'horizon le dénouement de la saison 8 de "Game of thrones" ?




Comme Jon Snow (Kit Harrington) et Daenerys Targaryen (Emilia Clarke), vous cherchez vers l'horizon le dénouement de la saison 8 de "Game of thrones" ? © HBO
Attention, si vous n’avez jamais regardé la série, lu le livre et que vous en avez l’intention, ou que vous êtes tout simplement en retard : passez votre chemin. Sinon, bonne lecture à vous.
Voilà, nous y sommes presque : le 14 avril prendra fin la série Game of Thrones inspirée de l'oeuvre de George R. R. Martin. 
Une série qui a passionné et passionnera encore un long moment les fans du monde entier. La chaîne HBO, qui produit et diffuse, a publié le 6 mars la bande annonce finale et depuis la communauté des fans cherche à deviner le dénouement avant la diffusion. Un exercice pourtant bien difficile puisque bon nombre de rebondissements sanglants ont pris de court les spectateurs de la série. À titre d'exemple, l'avant-dernier épisode de la saison IV, Les noces pourpres, avait été un des plus commentés sur internet et avait choqué certains.

HBO a publié le 6 mars la bande annonce de l'ultime saison de "Game of Thrones" et la communauté de fans se perd en conjecture, la toile s'embrase comme souffle de dragon pour deviner ce qui va arriver. Et ce n'est pas Kit Harington, invité d'Antoine de Caunes et Charline Roux, qui nous a aidé à y voir plus clair.

Kit Harington et la fin de "Game of Thrones"

Le joueur de Manchester United, Paul Pogba lui même s'est essayé à faire parler Kit Harington (alias Jon Snow et désormais alias Aegon Targaryen). Dans un post Instagram, le joueur s'est pris en selfie avec le comédien, en laissant un commentaire sibyllin : "You don't know nothing" et faisant référence à la réplique d'Ygritte à Jon Snow, y ajoutant une négation qui se traduirait littéralement par "Tu ne sais pas rien".  
Invité de Popopop, celui qui incarne le Roi du Nord a subi les assauts de questions de notre intervieweuse de choc, Charline Roux.
Nous avons discuté avec Paul Pogba, et il me demandait ce que je ressentais à l'idée de finir Game of Thrones et je lui ai répondu que c'était un peu comme pour un joueur de foot. J'ai commencé la série, j'avais 21 ans. Elle se termine alors que j'ai 32 ans. J'ai été mis dans la lumière, un peu comme un joueur de Manchester United... 
Et à la question "est-il heureux ou anxieux d'abandonner son personnage ?", il répond : 
Je suis content et soulagé d'en avoir fini avec Jon Snow. 
Kit Harington n'est pas sûr de finir en meilleur forme qu'un joueur professionnel d'ailleurs, rapport aux quelques combats à l'épée qu'il a dû pratiquer pendant ces années de tournages. Et quand Charline Roux lui demande si les gens lui donnent régulièrement la célèbre réplique : "You know nothing Jon Snow", il répond :
On me le dit souvent… Si les gens pouvaient arrêter de me dire ça, ça me rendrait vraiment heureux.
Même s'il venait pour la promotion du nouveau film de Xavier Dolan, il ne put échapper à LA question qui brûle les lèvres de tous ces impatients : qui va s’asseoir sur le trône de fer ?Vous vous en doutez… Kit Harington n'a rien révélé :
No comment. Tout ce que je dis, même si c'est une blague, va être pris sérieusement donc je ne dis rien. J'ai fait des blagues sur le sujet précédemment et ça m'a attiré des soucis.
Le 6 mars, Kit Harington chez Stephen Colbert avouait néanmoins :
J’ai été choqué et surpris par la manière dont certains événements se produisent. Et puis j’ai pleuré un bon coup. J’ai pleuré. Oui, j’ai  pleuré.
Lean Headey (alias Cersei Lannister) disait dans le HuffPost US avoir mal vécu la fin de l'aventure :
Quand je suis partie [du tournage] et que je suis montée dans la voiture, j'ai fondu en larmes et j'ai été... dévastée
Quand aux deux showrunners de la série, D.B Weiss et David Benioff, ils déclaraient le 4 mars dans Entertainement Weekly que : 
Cela fait 11 ans que nous travaillons sur cette série et nous savons aussi que, peu importe ce que nous faisons, même si on arrive à  réaliser la version optimale, un certain nombre de fans vont détester. 

La fin de la saison 7

Une chose est certaine. Depuis le début, la série nous le "chante" : c'est l'histoire du feu et de la glace. À vous de voir ce que vous voulez y mettre : le Roi du Nord et la reine des dragons, le monde des vivants contre celui des morts mené par le Roi de la Nuit, le Dieu de la Lumière contre les ténèbres…
Autre chose certaine : la saison 7 nous laissait sur différents points cruciaux : 
  • On apprend de la bouche de Samwell Tarly et Bran Stark les origines et le vrai nom de Jon Snow : Aegon Targaryen, qui est donc le neveu de Daenerys Targaryen, la mère des dragons et prétendante au trône de fer.
  • La tante et le neveu, qui ne sont pas encore au courant de leur lien de parenté, sont devenus amants. Mais pas d'inquiétudes, la pratique est courante dans la famille Targaryen qui souhaite garder sa lignée "pure" (rappelez-vous, Daenerys au début de la série devait épouser son frère Viserys)
  • Leur union n'est pas très bien vue par la Main de la Reine Daenerys, Tyrion Lannister, qui semble très épris d'elle également comme quelques autres chevaliers de son entourage.
  • Les sœurs Stark, Sansa et Arya, ont repris la main sur le Winterfell et écarté le perfide Lord Baelish (aka Littlefinger) d'une façon assez radicale.
  • Theon Greyjoy semble s'être débarrassé de sa peur et part libérer sa sœur Yara des griffes de son oncle Euron.
  • Le Roi de la Nuit lui, est en position de force. Il a volé un dragon à Daenerys, et avance vers le sud. Il a franchi le mur avec une armée de morts-vivants qui semble invincible : les Marcheurs blancs.
  • Quant à la Reine Cersei Lannister, elle reste seule à Port Réal avec pour seule compagnie son protecteur Gregor Clegane (... ou ce qu'il en reste) pour tenir son fragile royaume. Son frère et amant Jaime semble être parti pour rejoindre la coalition des vivants, prête à lutter contre les Marcheurs blanc au Nord. Un événement que n'aurait pas renié Tolkien...
Voilà pour les certitudes. Pour les analyses de la bande-annonce, d'autres, comme Captain Popcorn, se sont chargés de la disséquer pour tenter de découvrir des indices comme le ferait Indiana Jones décryptant une carte... 

Les livres nous en disent-ils plus ?

Et ne cherchez pas dans les livres de George R.R. Martin des réponses. La saga du Trône de fer est suspendue pour l'instant au tome 5, publié en France en 2012 (qui correspond environ jusqu'à la cinquième saison de la série télévisée). L'écrivain a laissé la série partir devant, explorer des voies qui ne seront peut-être pas les mêmes sur papier. 
D'ailleurs, l'auteur n'a pas lu le script de la dernière saison. Il avait arrêté de collaborer depuis la saison 4 et avoué à Entertainement Weekly que ses sentiments étaient partagés sur le sujet et qu'il aurait bien aimé finir les livres avant la série. Si la conclusion de celle-ci s'avérait décevante à ses yeux, le père de la saga serait alors libre de proposer aux fans une fin alternative.

En attendant la saison 8

En attendant donc l'ultime saison et ses six épisodes de 90 minutes, vous pouvez bien sûr regarder à nouveau les sept saisons précédentes ou vous plonger dans les livres pour y chercher des indices, mais aussi ré-écouter :
► Blockbuster de Frédérick Sigrist du 10 juillet 2017 : Le Trône de fer (GOT) : oeuvre féministe ou rétrograde ?
► La marche de l'Histoire de Jean Lebrun du 14 avril 2015 consacrée à Game Of Thrones 
► Apprendre le Dothraki, langue des fougueux cavaliers d'Essos
► Revoir un des nombreux détournements de la série... 

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MAGAZINE

Pourquoi Game of Thronesfascine aussi les historiens

CHRISTIAN-GEORGES SCHWENTZEL, PROFESSEUR D'HISTOIRE ANCIENNE (UNIVERSITÉ DE LORRAINE)
La série Game of Thrones, qui a repris cette semaine pour une huitième (et en principe dernière saison) est de la pure fiction dans un univers dit de « fantasy ». Elle passionne néanmoins les historiens pour ce qu’elle révèle de notre époque, démontrant que les fantasmes humains n’ont guère changé depuis des siècles, voire des millénaires.
La série Game of Thrones (HBO, 2011-), tirée des romans de George R.R. Martin, n’est pas du tout une reconstitution historique du passé, mais une œuvre de fiction et de fantasy. Elle suscite pourtant un très vif intérêt de la part des historiennes et des historiens.
À quoi s’intéressent les historiens ?
Le magazine Historia (avril-juin 2019) vient de publier un hors-série dont le titre a, de prime abord, de quoi intriguer : « Game of Thrones, la série événement à la lumière de l’Histoire ». Le numéro est cosigné par une palette d’universitaires : deux spécialistes de littérature (ce qui n’a rien d’étonnant, puisque George R.R. Martin est un romancier) ; et douze chercheuses et chercheurs en histoire, offrant un assez large éventail, allant de la jeune post-doctorante au professeur émérite. On y trouve une majorité de médiévistes, mais aussi des spécialistes de l’Antiquité et de l’époque moderne.
Bien sûr, les historiens n’étudient pas seulement des textes écrits avant eux par d’autres historiens. Ils peuvent aussi se pencher sur des œuvres littéraires, des objets artistiques, des films… Dans ce sens, tout est historique, ou peut le devenir, dès lors qu’on l’aborde avec une certaine méthode et au travers de questionnements propres aux sciences humaines.


Missandei, interprétée par Nathalie Emmanuel. (Photo : Game of Thrones, HBO)

Il est ainsi possible d’étudier L’Iliade ou la Bible à la lumière de l’histoire, c’est-à-dire, par exemple, en tentant de faire la part entre ce qui s’est réellement passé, il y a trois mille ans, et ce qui a été inventé. L’historien y parvient notamment par la confrontation des sources. C’est ainsi qu’on a vu le développement d’une archéologie biblique ; ou encore de recherches sur l’Âge du bronze dans le monde égéen, initiées par Heinrich Schliemann, qui découvrit l’ancienne Troie, prouvant qu’il y avait bien un fond historique sous les récits épiques élaborés plus tard.
La Bible ou l’Iliade, qui ne sont pas des textes écrits dans une perspective historique, nous livrent donc de précieuses informations sur l’histoire des Hébreux ou des Grecs dans l’Antiquité.
Mais quel est l’intérêt historique de Game of Thrones ?
Par contre, Game of Thrones ne nous dit rien du passé, du moins pas de manière directe, puisqu’il s’agit d’une œuvre contemporaine. Le premier tome du Trône de fer (A Song of Ice and Fire) a été publié par George R.R. Martin en 1996 et le premier épisode de la série a été diffusé par HBO en 2011.
Autant dire qu’au regard de l’histoire de l’humanité, ces œuvres littéraires ou filmées sont extrêmement récentes : l’auteur de la saga, les réalisateurs de la série (David Benioff et Daniel Brett Weiss) ou encore les acteurs sont tous parfaitement connus et identifiés. Rien à voir avoir avec Homère ni avec les rédacteurs de la Bible.
Game of Thrones est une œuvre qui nous parle d’abord d’aujourd’hui : de « nous », lecteurs si nombreux qui au cours des dernières années avons lu les romans de George R.R. Martin et qui, encore plus nombreux, avons vu la série et en attendons la fin, avec une impatience grandissante, un peu partout sur notre planète.
Car Game of Thrones est un phénomène mondial, unique ou du moins premier en son genre (à n’en pas douter, d’autres œuvres prendront le relai). La série est de toute évidence la plus regardée de nos années 2010 ; elle a été diffusée dans plus de 170 pays, sans compter les visionnages illégaux, difficile à estimer précisément. Le trailer de la saison 8, dont la diffusion doit débuter en avril 2019, aurait été vu par quelque 80 millions de personnes en 24 heures à peine.
Ce succès traduit l’étonnante adéquation entre la série et les attentes d’un public international. Ce qui en fait assurément une source historique majeure pour les chercheuses et chercheurs qui s’intéressent ou s’intéresseront plus tard à notre époque.


Donald Trump examinant des prototypes de murs, San Diego, mars 2018. (Photo : Wikimédia)

Que dit de nous Game of Thrones ?
Si la série Game of Thrones ne dit rien du Moyen Âge ni de l’Antiquité à proprement parler, elle nous révèle, en tout premier lieu, que les fantasmes humains n’ont guère changé depuis des siècles, voire des millénaires. Les thèmes qui nous fascinent sont toujours les mêmes, qu’on le veuille ou non : luttes pour le pouvoir, meurtres, complots, trahisons, prostitution, viol, inceste, torture…
À ces ingrédients, vieux comme l’humanité, s’ajoutent des thèmes en lien étroit avec les défis d’aujourd’hui. C’est pourquoi le succès de Game of Thrones dépasse largement le cercle des passionnés de fantasy. On y trouve des métaphores du dérèglement climatique et de la crise des migrants. Le long hiver menaçant l’humanité fait directement écho à des craintes liées aux changements du monde dans lequel nous vivons et à la peur de l’Autre. L’angoisse est matérialisée par le mur, édifié par Brandon Stark dit « le Bâtisseur » : une fortification de glace, longue d’environ 480 kilomètres et haute de plus de 200 mètres. De quoi faire pâlir d’envie Donald Trump dont le projet de séparation, bien réel, à la frontière mexicaine, oscille entre 5 et 9 mètres de haut. Une dimension tout de même importante d’un strict point de vue historique, puisque la muraille édifiée au IIe siècle par l’empereur romain Hadrien, qui inspira George R.R. Martin, atteint au mieux 4,60 mètres.
Rappelons que ni George R.R. Martin – qui imagina le Mur de Bandon, il y a plus de 20 ans déjà – ni les réalisateurs de la série ne pouvaient bien sûr prévoir l’élection de Donald Trump. Mais le livre et la série se révèlent d’une étonnante actualité, comme si, d’une certaine manière, c’était finalement l’histoire qui était en passe de rattraper la fiction. Game of Thrones parle de nous aujourd’hui et peut-être même de notre avenir.


Yara Greyjoy interprétée par Gemma Whelan. (Photo : Game of Thrones, HBO)

Historia propose ainsi une comparaison entre les barrières de séparation depuis Hadrien jusqu’à celle de Trump (non encore construite), en passant par la muraille de Chine et le mur de Berlin. Rien qui soit susceptible de nous rassurer : en établissant un lien aussi direct, bien qu’il soit involontaire, entre l’Empire romain et les États-Unis, Game of Thrones donne (du moins jusqu’à la saison 7) le sentiment d’une humanité qui a décidément bien du mal à évoluer et dont l’avenir fait écho à son passé. Comme un serpent qui se mord la queue.
Chercher les ressemblances : une activité pédagogique et ludique
De manière moins sombre, Game of Thrones offre aussi à tous les passionnés d’histoire un vaste terrain d’entraînement, constitué de deux immenses continents et doté d’une longue histoire fantaisiste ; car George R.R. Martin a non seulement créé des lieux et des personnages, mais aussi une chronologie qui voit se succéder les règnes, les invasions et les empires. Dès lors, il est tentant de chercher à identifier, sous la fiction, les nombreux emprunts qu’a pu faire l’auteur à l’histoire depuis l’Antiquité gréco-romaine jusqu’à, par exemple, la guerre des Deux-Roses qui, au XVe siècle, opposa les York aux Lancastre, comme les Stark aux Lannister.
Chercher les ressemblances entre les personnages de George R.R. Martin et des figures historiques bien réelles peut offrir aux enseignants et à leurs élèves ou étudiants une activité aussi passionnante que féconde. Game of Thrones est susceptible de servir de prétexte à l’étude de nombreux thèmes historiques. Missandei est une porte d’entrée qui permet d’aborder l’esclavage et l’affranchissement dans l’Antiquité. On pourra la comparer à la femme de Spartacus qui joua un rôle de conseillère auprès du célèbre chef des esclaves en révolte contre Rome, en 73-71 av. J.-C.
Les Fer-nés peuvent introduire un cours sur les Vikings ; d’autant plus que l’analyse, en 2017, d’un squelette retrouvé dans une nécropole à Birka, en Suède, vient de prouver que des femmes cheffes ont parfois commandé les peuples du Nord, il y a environ mille ans. À la lumière de cette découverte, Asha (ou Yara dans la série) Greyjoy en devient encore plus crédible.
Game of Thrones ou une bien fantastique invitation à explorer de l’histoire…
The Conversation






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