À MÉDITER...

Il est possible de vivre sans souffrance, sans anxiété et sans souffrance, sans anxiété et sans névrose. Mais pour atteindre cet état d’éveil nous devons arriver à comprendre que nous sommes nous-mêmes les créateurs de notre
propre souffrance. Que notre mental – et non pas les autres et notre monde environnant – est à l’origine de nos problèmes. C’est notre propre mental, avec son flot presque continu de pensées, qui se soucie du passé et s’inquiète de l’avenir. Nous faisons la grave erreur de nous identifier à lui en pensant que c’est ce que nous sommes, alors que nous sommes en fait des êtres bien plus grandioses.



Sur un fond de ciel bleu azur, les rayons jaune orangé d’un soleil couchant peuvent, à certains moments privilégiés, nous régaler d’un instant d’une telle beauté, que nous en restons momentanément ébahis, le regard fixe. La splendeur de ce moment nous éblouit tellement que nos esprits habituellement si bavards marquent un temps et ne nous entraînent pas mentalement ailleurs que dans l’ici-maintenant. Baignant dans un halo de lumière, nous voyons s’ouvrir en nous une porte donnant sur une autre réalité. Une réalité qui est toujours là mais dont nous sommes rarement les témoins.



Une vision du monde cherche à répondre à deux questions essentielles : « Qui sommes-nous ? » et « Quelle est la nature de l’univers dans lequel nous vivons ? ».


À l’instar d’un papillon qui volette d’une fleur à l’autre, notre mental s’arrête sur nos expériences passées ou anticipe celles à venir en projetant ses propres productions visuelles.

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