Après l’installation de deux wagons, le musée de la première guerre mondiale inaugurera une tranchée le 11 novembre 2024. Une expérience immersive qui plonge les visiteurs dans les conditions de vies des poilus. Après l’installation de deux wagons, le musée de la première guerre mondiale inaugurera une tranchée le 11 novembre 2024. Une expérience immersive qui plonge les visiteurs dans les conditions de vies des poilus. Le musée aux 70.000 objets et documents de la Première Guerre mondiale à Meaux prépare une tranchée pour une expérience immersive. Les visiteurs seront plongés au cœur d’un couloir de 100 mètres de long et de 800 m². Tout est fait pour que les visiteurs arrivent comme de véritables recrues au sein des troupes. «Ils descendront dans la tranchée pour avoir l’impression d’être sous terre comme à l’époque, explique la direction du musée. On y trouve un poste d’artillerie, une cagna (abri), un tunnel d’écoute des troupes ennemies, des boyaux de communication et un no man’s land». Tout y est. «C’est à visée pédagogique. Il n’y a rien de spectaculaire», précise Jean-François Copé, président (LR) de la communauté d’agglomération des Pays de Meaux. Accessible dès 5 ans, le musée qui appartient à la communauté d’agglomérations de Meaux suit une démarche historique et scientifique rigoureuse. Le lieu, qui enregistre 100.000 entrées par an, «présente déjà deux petits morceaux de tranchées en intérieur», ajoute la direction. Chaque année, une nouvelle exposition est présentée. L’année dernière, deux wagons remis à neuf faisaient leur entrée au musée. L’un servait au transport de troupes et de chevaux, l’autre au transport des munitions. Pour ce nouvel aménagement, le musée de 3000 m² d'exposition s’est inspiré des travaux de l’historien François Cochet, commissaire d’une exposition consacrée aux tranchées au musée en 2022. Les travaux devraient commencer le mois prochain et ouvrir le 11 novembre 2024. Coût de l'opération : 1,3 million d'euros. |
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Une photo de gorille avec un effet de flou causé par une chute accidentelle, l’installation d’une « caméra-piège » pour capturer des images de loups en pleine nuit… Des photographes ont raconté au magazine Vice les histoires parfois étonnantes qui se cachent derrière certains de leurs clichés récompensés par des prix du Nature Photographer of the Year Awards 2021. L’article est accompagné d’autres belles images soumises à ce concours
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