BONNE FETE A LA SKIPPETTE BARBARA
Barbe la grande martyre
Le 4 décembre, mémoire de la Sainte et Grande Martyre BARBARA
Fille d'un riche païen d'Héliopolis ((aujourd'hui Baalbek au Liban , Hélénopont) nommé Dioscore, Sainte Barbara vivait sous le règne de l'empereur Maximien (284-305). Jaloux de sa remarquable beauté, Dioscore, son père, sur le point de partir pour un lointain voyage, fit enfermer sa fille en haut d'une tour élevée de son palais, afin qu'aucun homme ne la vît. Il avait pris soin de la combler de tous les biens et de lui donner une éducation raffinée, mais il n'avait pu empêcher la jeune fille d'exercer sa fine intelligence de manière conforme à l'image de Dieu déposée en chaque homme. D'elle-même, en contemplant le reflet de la présence de Dieu dans la nature, elle était parvenue à la connaissance du Dieu Un dans la Trinité et, se détournant des vanités, elle ne sentait son cœur s'émouvoir que pour le Christ, l'Epoux céleste. Dioscore avait fait entreprendre la construction d'un bain au pied de la tour et avait ordonné d'y faire seulement deux fenêtres. En voyant la construction pendant l'absence de son père, Barbara commanda aux ouvriers d'en ouvrir une troisième, pour que la salle soit éclairée par une triple lumière, symbole de la triple lumière du Père, du Fils et du Saint-Esprit, qui illumine tout homme venant en ce monde. Lorsque Dioscore rentra de son voyage avec des propositions d'un riche mariage, il s'opposa au refus de la jeune fille qui désirait consacrer au Christ sa virginité. L'étonnement du méchant homme se changea en une violente colère lorsqu'il apprit l'ouverture de la troisième fenêtre sur l'ordre de sa fille. Comme il lui en demandait la raison, Barbara fit devant lui le signe de la Croix et, lui montrant ses trois doigts réunis, elle lui dit: «Le Père, le Fils et le Saint-Esprit, c'est par cette unique lumière que toute la création est illuminée, et c'est par ce signe que les hommes sont sauvés». Ne contenant plus sa fureur, Dioscore saisit son épée et voulut lui trancher immédiatement la tête; mais, heureusement, la jeune vierge s'échappa et se réfugia dans la montagne, où un rocher se fendit miraculeusement pour l'abriter.
A la suite d'une dénonciation, son père finit par la découvrir. Il s'en empara et la livra au gouverneur de la province, devant lequel la Sainte confessa ardemment le Christ et méprisa les idoles. Elle fut alors cruellement frappée, sa chair fut déchirée à coups d'épingles, ses côtés brûlés et sa tête meurtrie par de grosses pierres, de sorte que, jetée dans un sombre cachot, son corps n'était plus qu'une plaie sanglante. Or, la nuit venue, le Seigneur Jésus-Christ lui apparut entouré d'une radieuse lumière et, après avoir guéri toutes ses plaies, Il lui promit de l'assister jusqu'à la fin dans son combat.
Le lendemain, Barbara comparut une seconde fois devant le tyran stupéfait de la voir si soudainement rétablie. On la soumit à de nouveaux supplices, et le juge ordonna de la dépouiller de ses vêtements et de la livrer nue à la risée publique. Mais le Seigneur ne laissa pas les regards impudiques outrager la pureté de Sa vierge, et un globe de feu descendit soudain du ciel, recouvrant la jeune Martyre d'un vêtement de lumière.
Devant le spectacle de l'endurance de la Sainte et des Miracles par lesquels Dieu manifestait Sa faveur, une jeune femme du nom de Julienne se déclara elle aussi Chrétienne et résolue à partager le sort de Barbara. On se saisit d'elle aussitôt et on lui fit partager les supplices de sa compagne. Le tyran décida finalement de faire décapiter les deux jeunes filles. A la prclamation de la sentence, Dioscore, qui avait assisté impitoyable à toutes les tortures de sa fille, proposa au gouverneur de lui trancher la tête de ses propres mains. Une fois rendues au sommet de la montagne où devait avoir lieu l'exécution, Julienne et Barbara offrirent en même temps leurs âmes au Seigneur: la première décapitée par un bourreau et la seconde par celui-là même qui lui avait donné le jour. Mais la vengeance divine ne tarda pas, dès qu'il prit le chemin du retour, le cruel Dioscore fut soudain frappé par un coup de foudre et fut réduit en cendres.
A la suite d'une dénonciation, son père finit par la découvrir. Il s'en empara et la livra au gouverneur de la province, devant lequel la Sainte confessa ardemment le Christ et méprisa les idoles. Elle fut alors cruellement frappée, sa chair fut déchirée à coups d'épingles, ses côtés brûlés et sa tête meurtrie par de grosses pierres, de sorte que, jetée dans un sombre cachot, son corps n'était plus qu'une plaie sanglante. Or, la nuit venue, le Seigneur Jésus-Christ lui apparut entouré d'une radieuse lumière et, après avoir guéri toutes ses plaies, Il lui promit de l'assister jusqu'à la fin dans son combat.
Le lendemain, Barbara comparut une seconde fois devant le tyran stupéfait de la voir si soudainement rétablie. On la soumit à de nouveaux supplices, et le juge ordonna de la dépouiller de ses vêtements et de la livrer nue à la risée publique. Mais le Seigneur ne laissa pas les regards impudiques outrager la pureté de Sa vierge, et un globe de feu descendit soudain du ciel, recouvrant la jeune Martyre d'un vêtement de lumière.
Devant le spectacle de l'endurance de la Sainte et des Miracles par lesquels Dieu manifestait Sa faveur, une jeune femme du nom de Julienne se déclara elle aussi Chrétienne et résolue à partager le sort de Barbara. On se saisit d'elle aussitôt et on lui fit partager les supplices de sa compagne. Le tyran décida finalement de faire décapiter les deux jeunes filles. A la prclamation de la sentence, Dioscore, qui avait assisté impitoyable à toutes les tortures de sa fille, proposa au gouverneur de lui trancher la tête de ses propres mains. Une fois rendues au sommet de la montagne où devait avoir lieu l'exécution, Julienne et Barbara offrirent en même temps leurs âmes au Seigneur: la première décapitée par un bourreau et la seconde par celui-là même qui lui avait donné le jour. Mais la vengeance divine ne tarda pas, dès qu'il prit le chemin du retour, le cruel Dioscore fut soudain frappé par un coup de foudre et fut réduit en cendres.
Selon la tradition Sainte Barbe est la patronne des mineurs , des pompiers , des artificiers, et maintenant des travailleurs sur les plateformes pétrolières , bref !de tous ceux qui risquent d’etre confrontés aux accidents du feu ou des explosions.
le juge ordonna de lui trancher la tête. Mais Dioscore, son père, s'écria : "C'est à moi de la frapper !" et saisissant son épée, il trancha la tête de l'innocente victime agenouillée devant lui. Dioscore fut aussitôt châtié par le Ciel : il mourut frappé par la foudre.Les empereurs byzantins vénéraient particulièrement ses reliques qu’ils firent transférer à Constantinople au VIe siècle. Une partie de ces reliques fut emmenée en Italie par les Vénitiens, et une autre au XIe par Anne Comnène la fille de l'empereur bizantin Alexis Ier Comnène à Kiev, où elles se trouvent toujours à la Cathédrale Saint Vladimir.
Sainte Barbe est la patronne des Pompiers et tous les corps de métiers qui ont à redouter la foudre ou le feu.
On l'invoque également contre la mort subite et imprévue.
Le fort patronage que lui vouaient les mineurs de fond s’est progressivement transmis aux ouvriers et ingénieurs des travaux souterrains (tunnels, cavernes, etc.) avec la disparition progressive de l’industrie minière occidentale.
De nos jours, une sainte Barbe trône toujours à l’entrée des tunnels en construction pour protéger les ouvriers-mineurs des accidents de chantier.
Sainte Barbe, calcaire polychromé, Villeloup (Aube) vers 1520-1530 |
On l'invoque également contre la mort subite et imprévue.
Le fort patronage que lui vouaient les mineurs de fond s’est progressivement transmis aux ouvriers et ingénieurs des travaux souterrains (tunnels, cavernes, etc.) avec la disparition progressive de l’industrie minière occidentale.
De nos jours, une sainte Barbe trône toujours à l’entrée des tunnels en construction pour protéger les ouvriers-mineurs des accidents de chantier.
Sainte Barbe est généralement représentée en jeune fille, avec une palme de martyre, elle peut porter une couronne, un livre. Une tour à trois fenêtres, un éclair constituent également d'autres attributs de la sainte.
voir aussi Sainte Barbe et Barbe (homonymie).
Barbe la grande martyre
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Décès | |
Époque |
Étape de canonisation |
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Barbe la grande martyre ou sainte Barbe ou Barbara (en grec et en latin) est une sainte des églises orthodoxes et catholique, fêtée le 4 décembre[1],[2].
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