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Affichage des articles du février, 2023
Louannec. Hommage à Ernest Renan à Rosmapamon L’inspiration, c’est à Rosmapamon, au Manoir, qu’Ernest Renan venait la chercher pendant l’été. Une plaque "Maison des illustres" vient d'y être apposée en mémoire de l’écrivain. Cette maison, dans laquelle il a séjourné pendant 8 ans, est la 226e à obtenir le label Maison des illustres. CASSANDRE LERA ir en pcr Jeudi soir, Annick Sillard, propriétaire de l’endroit, en présence du maire Gervais Egault, a dévoilé la plaque Maison des illustres décernée au manoir de Rosmapamon, où a vécu Ernest Renan. Ce label, créé en 2011 par le ministère de la Culture, a vocation à  « conserver et entretenir la mémoire des femmes et hommes qui ont marqué l’histoire de la France » .Un moment qui a clôturé en beauté les Journées de Rosmapamon. Pendant trois heures, des renaniens sont venus lire les œuvres de l’écrivain et philosophe. Des lectures symboliques, qui rappellent que Le Manoir, s’il est une  « villégiature, est aussi un lie...

ERNEST RENAN

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Ernest Renan, l’illustre enfant de Tréguier, a marqué son siècle Un esprit libre, géant du XIXe siècle. Les origines trégorroises d'un élève extrêmement brillant Le 27 février 1823 à Tréguier dans les Côtes-d’Armor, Ernest Renan voit le jour dans une famille désargentée. Son père, marin et républicain convaincu, a épousé la fille de commerçants royalistes installés à Lannion, la ville voisine. Dès son plus jeune âge, Ernest Renan est bercé par les opinions politiques et religieuses respectives de ses parents. Il a à peine cinq ans quand son père meurt noyé en mer au large d’Erquy. C’est sa sœur Henriette, son aînée de 12 ans, qui devient alors le chef moral de la famille. Esprit libre, élève boursier à l’école des Frères de Lannion puis au petit séminaire de Tréguier, Ernest Renan impressionne ses professeurs. Ces derniers remarquent très tôt ses capacités intellectuelles et voient en lui un futur homme d’Église. En 1838, âgé de 15 ans, il termine son collège auréolé de nombreux pr...
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RECIT. Sarah Bernhardt, la bonne dame de Belle-Île Le 26 mars 1923, il y a cent ans, la « Voix d’or » s’éteint à Paris. Sens dessus dessous, la France pleure son idole disparue. Mais à Belle-Île-en-Mer où Sarah a passé tant d’étés enchantés, l’émotion est toute particulière. Sa célèbre « dame blanche » ne paraîtra plus au large du Palais. CHRISTIAN PAPAZOGLAKIS Voir en plecr Ouest-France   Olivier RENAULT. Publié le  24/03/2023  à 21h00  À la pointe des Poulains, en Sauzon, dans un pli de terrain, se cache une redoute écrasée et comme protégée par les rochers abrupts qu’elle était destinée à défendre. Vers 1894, ce fortin se drapa plus étroitement encore dans ses formes blanches ; il abritait Sarah Bernhardt.   ​Quand paraissent ces quelques lignes dans  L’Ouest-Eclair  (l’ancêtre d’ Ouest-France ), près de dix jours ont passé depuis l’annonce de la mort de la grande tragédienne, au soir du 26 mars 1923, à Paris. Mais, le journalist...