Chère Kate Middleton, Surtout, ne faites pas attention à cette lettre, si tant est que la question puisse se poser mais sauf irrespect, je tiens malgré tout à vous l’adresser, au moins virtuellement. Quand certains mots sont prononcés, des mots comme des parpaings balancés sur nous, pauvres êtres humains, alors l’insignifiance balaie tout sur son passage, une sorte de karcher cramant l’intégralité du paysage comme peut-être cette chimiothérapie chargée d’éradiquer ce cancer que vous avez fini par nous balancer. J’explique : oui, je faisais partie des rieurs, des sceptiques, des aboyeurs, (serait-ce même en mon for intérieur), j’appartenais à ceux qui canardent, même dans leur coin, qui n’en pensent pas moins, qui se demandent, qui commentent. Comment ? Elle, la princesse, duchesse, comtesse, future reine probablement, qui pense pouvoir disparaître du métavers depuis le 25 décembre dernier, 2 mois et demi d’absence, à ne plus se montrer, d’un seul coup, quand ça la chante...