SOUVENIRS DE CROISIÈRE




GRAN ROQUE



Nous voici bien arrivés aux Roques !
mouillage à SARQUI bien à l'abri de Don qui s'est d’ailleurs dégonflé maintenant !


CRASQUI




 Départ le lendemain pour Gran Roque  où nous retrouvons notre ami Juanito qui va nous donner du gazole et de l'essence mais pour cela nous devons aller à l'îlot de Francisqui pour que ce soit plus discret...

FRANCISQUI 


Après avoir fait  nos formalités  chez les garde-côtes et à la "SAIME" 

ainsi que le règlement pour le "Parque", nous commençons à refaire des appros vu que la barge est arrivée ce matin et qu'il y a encore des choses en rayon, puis
nous quittons Gran Roque pour Francisqui : une navigation de 2 miles. 



Francisqui est un bon abri quelle que soit la direction du vent. À chaque passage d’une dépression tropicale aux Antilles, nous subissons ici une rotation complète du vent. Pas toujours très fort, mais il faut se méfier et suivre les variations du vent.



Mouillé à l’abri de la mangrove, je vais voir le vent effectuer une rotation de 360° en 24 heures. Cette fois-ci, il est resté faible.


Un peu plus loin, sur la plage, un bar avec une terrasse qui se prolonge dans l’eau. Plus facile de nettoyer le sol que de ranger les chaises...!




Escale à Crasqui : une île habitée par des humains …… accompagnés de leurs chiens. Deux des trois habitants permanents de l’île. Le troisième est également noir mais à quatre pattes.











Les Roques, c’est comme un iceberg : il y a plus à voir dessous que dessus. On est allé voir …Je laisse la parole à Afrodite :
"… ce que voient mes dérives et mes safrans "

du corail

Encore du corail,


Toujours du corail,



En dans le corail, des poissons…… beaucoup de poissons. Ce qui est maintenant certain, c’est que l’appareil photo est bien étanche...!


NORONSQUI



Nous quittons Francisqui  pour Noronqui. Navigation de 7 miles vers l’Est sous foc seul : c’est suffisant pour un saut de puce. Afrodite est mouillée devant la plage par plus de 8 mètres de fond.




Le ciel se couvre le soir …



… et nous subissons le lendemain une journée de pluie : rinçage efficace du mât, des haubans, du trampoline et du pont.



Gran Roque est toujours bien visible derrière Noronqui qui culmine à 1 mètre.








Dimanche 23 juillet

Les formalités sont faites, les  pleins pas chers de gazole et d'essence réglés 20 euros à Juan et livrés en fûts à bord d'Afrodite dans la baie de caya Francisqui
donc départ pour l'ouest des îles et îlots de l'archipel
et premier arrêt de nouveau à SARQUI
Poursuite de la navigation dans les Roques à Sarqui. Heureusement que le nom des îles se termine par « qui » et non « quo ». Surtout pour une île qui n’est pas haute : mon pont dépasse à peine le sommet.
Balade sur la longue plage puis essai de  pêche à la traîne en annexe...finalement : un maquereau, une grosse dorade et une baliste - moi de mon côté je pêche à la palangrotte à l'arrière d'Afrodite :
bon les repas sont assurés en protéines!

mercredi 26

en route cap à l'ouest sous voile vers les îlots de cayo de Agua et Bequeve, mouillage un peu rouleur, Afrodite se dandine...
belle escale à l’extrémité ouest de l'archipel ce qui permet de faire de la pêche sous-marine

À l’heure du repas,  les mouettes essayent (et réussissent souvent) d’attraper les restes des poissons du bec des pélicans. Posée sur sa tête, elle attend qu’il relève le bec. Leçon d’apnée.






CARENERO



Cap sur Carenero. Ces navigations de 2 ou 3 miles se font sous foc : le vent nous pousse et on peut rester à l’ombre sous le taud.







Les passages entre les îles requièrent toute l’attention du capitaine : les écarts de route mènent directement sur le corail.



Carenero, comme Francisqui, est un mouillage dans la mangrove protégé de tous les vents.






sur Becqueve des fous couvent à même le sol

 





 
Sur la plage de Carenero, la chapelle de la Virgen Del Valle est faite en matériaux de récupérations. Le banc est en bois flotté.



CAYO DE AGUA



En route vers Becquevé, distant de 5 miles. Des dauphins qui tournaient déjà derrière moi dans le lagon ce matin nous accompagnent.

 Navigation toujours à vue du fond : bleu foncé grand fond, bleu clair du sable, marron foncé des rochers. Une erreur d’appréciation de la couleur et mes dérives se retrouveraient sur le corail. Je m’en sors avec une éraflure sur le gel coat. Ouf !


 



Cayo de Agua est bien protégé du vent de sud-est.


Cette île fournissait l’eau douce aux anciens navigateurs, très longtemps avant l’invention du dessalinisateur. D'où son nom ?




Elle est nettement plus longue que large …




… et avec ses dunes, c’est la plus haute que nous ayons visité depuis Gran Roque.



 au matin, nous sortons de l’archipel des Roques après avoir salué le phare de la pointe Ouest des îles.





Nous disons au revoir aux Roques qui très vite disparaissent sous l’horizon.




Cap grand largue sur les Aves ...



Les "zarpe" sont faites
Nous avons droit à 3 mois dans les iles de l'archipel.






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